Les cloches tintent, notre heure à sonné [Mariage: ouvert à tous]

Enormément de monde arrivait, une grande majorité d'entre eux m'était complétement inconnu. Cela était tout simplement normal, je n'étais pas du genre à me faire des amis mais plutôt le contraire à vrai dire. Beaucoup de monde venait vers nous, j'avais presque la tête qui tourne enfaîte je m'en fichais des autres. La seule personne que je voyais était tout simplement mon cher amour, lui gardant toujours le bras entre mes bras pour ne pas le laisser filer. Je gardais un sourire à saluant tous ceux qui venaient vers nous, lorsqu'il se mettait à pleuvoir. Je levait mon visage vers le ciel et les gouttes pluies tombèrent sur mon visage pour couler le long de ma joue comme des larmes que j'aurais put produire. Une pluie raffraîchissante, un temps parfait à mes yeux. Moi qui n'aimait pas vraiment le soleil, à cause de la chaleur que ces rayons produits sur cette misérable planéte où nous vivions. Je reposais mon doux regard amoureux sur l'élu de mon coeur en lui disant :

_ Je suis préssé que le prêtre vienne...

"-Tu peux me tutoyer tu sais!!! lui dit-elle gentillement."

Elle vit la fille s'assoir à côter d'elle et cela ne la gêna pas, au contraire ça veut dire qu'elle n'avait pas peur d'elle:

"Tu es très bizarre,tu sais,si tu veux contrôler l'eau,il ne faut faire qu'un avec elle.Et puis si tu te nommes Aqua,cela est bizarre que tu ne contrôles pas l'eau et que tu as froid avec l'eau..."

Aqua était surpris pas la question que lui posa Jubia. En y repensant, elle se nommait Aqua elle n'avait pas le contrôle totale de son pouvoir...Mais, cela ne la dérangea pas jusqu'à maintenant. Il est vrai qu'elle avait, un petit peu froid, mais rien de bien grave, ça ne va pas lui faire attraper une maladie grave. Elle voulait juste entammer une discution avec elle. Elle se sentait si bien auprés d'elle, comme une mére avec sa fille, ou comme une relation entre soeur, c'était tellement agréable !
Après un instant de silence entre elle, elle se décida a parler avec franchise:

- Tu sais, ce n'est pas moi qui est choisis de contrôler cette élément, ça m'était donné comme ça. En faite, j'était une elfe tout a fait normal avec des défauts et des qualités propre et du jour au lendemain, je me suis retrouvé seule dans une île inconnue pour moi et comme seule compagnie (de temps en temps) une voix étrange dans ma tête qui me parler comme une.. elle avait du mal a le dire ...mère

"-Sinon, tu connais des gens dans ce mariage?"

Elle commençait a apprécier cette elfe qui était seule aussi,un peu comme Jubia..Enfin,elle a parlée d'une voix dans sa tête.Et qu'elle prenait comme sa mére.Jubia trouvait cela très étrange et voulait en savoir plus mais elle vu que l'elfette changea vite fait de sujet et cela allait surement la blesser,une question de plus et elle allait craquer.Cela se voyait sur son visage.Puis quand l'elfette demanda si Jubia connaissait quelqu'un a ce mariage,elle lui réponda embarrassée et se sentait stupide..

"Euhh...Euuh...Non."

Elle savait que c'était stupide d'aller un mariage alors qu'elle ne connaissait personne,même pas les mariés.Elle avait enfin trouver une amie sur cette île.Elle voulait aidait l'elfette a maitriser l'eau.Tout a coup Jubia changea de tenue grace aux gouttes qui s'assemblérent en une tenue plus adaptée aux mariages.Une grande robe bleu et tout ce qui va avec.Eh oui,avec l'eau,on peut tout faire.Elle considére l'eau comme le meilleur élément et elle était contente d'avoir un don avec cet élément.Même si celui ci lui avait posé des problémes dans son passé..

Il se mettait à pleuvoir alors que d'autre gens arrivaient pour ce mariage. J'avais prévu que le temps serait couvert, certe mais pas qu'il pleuve, le seul kiosque qu'il y avait de libre était celui qui abritait l'autel pour le mariage. Personnellement, la pluie ne me faisait, ni chaud ni froid et savait que ce temps plaisait à ma chère et tendre. Mais je n'en savais pas pour les autres et me doutais bien que Syliphisis, être de feu qu'il était, ne devait pas vraiment porter ce temps dans ces favoris, le pauvre, je compatie. Je ne savais pas vraiment si l'eau dérangeait un être de feu ou pouvait attenter à sa vie, mais le voyant un moment il parraissait un peu bizarre, mais bon, je lui faisait confience, après tout il savait se gérer.

En songeant à Syli, puis à cette pluie, regardant enfin mon amour, tenir mon bras déterminée à ne pas lacher de crainte que je m'envole avec le vent, tel un ballon de baudruche, je me disais une chose à moi même, une phrase bien douce que je pourrais dire à Hatsuyo, mais m'en abstenait vu le monde qui y reignait. Ce n'était point par gène; parler de moi, déclarer mon amour sur les toits ne me dérangerais pas mais révéler mes sentiments profonds n'était réservé qu'a un public assez restreint. Je me disais qu'en ces conséquences même, mon coeur était comparable à syli, arrosé par la pluie, ayant connu maintes péripéties lui ayant presque couté la vie, mais la flamme qui continuait de le consumer ne s'éteignait pas... elle ne s'éteindra jamais. Non mon coeur ne se brule pas, même enveloppé de cette flamme tendre et froide à la fois qu'on pourrait appeller amour, une flamme destiné à danser sur mon coeur chaque jour, brulant sauvagement sombre passé, regrets et tracas, ne laissant que de place à un bonheur sans pareille. Une flamme que la vampire avait de son gré, malgré son dégout de la chaleur, allumée.

Soudain elle me regarda de ces beau yeux rouges, me disant qu'elle était pressée de la venue du prêtre. Cette attente était partagée. Je délogeais un court instant mon bras pour aller entourer sa taille de mes bras, la serrant contre moi et rapprochant ma tête de la sienne si belle, dégageant une odeur raffolante dont j'en demanderais chaque seconde. Je souriais.

"Il faudrait qu'il fasse vite... je risque de ne pas me retenir longtemps, tu es si belle."

Invité

Kyo lança une pièce en l'air en murmurant tout bas "United we stand, divided we fall." une phrase qui remettait en cause les évènements qu'il avais vécu dans le passé. Il était ailleurs, il ne calculait plus rien, une voix lui parlait "Kyo, tu te souviens de ce jour là ? Le jour où tu m'a assassiné." il releva la tête pour regarder les autres, puis en regardant de gauche à droite il finit par s'asseoir en attendant que ça avance. Ils attendaient tous le prêtre apparemment. Il ne tarda pas à se rallumer une cigarette et pensif, il retourna dans ses pensés à retrouver ce qui dans son passé le gênait. Puis d'un coup, il se leva et alla devant son fils.

- Je reviens, ce ne seras pas long. -

Puis il partit, sabre en main.