#.5639 Laisse moi mourir encore une fois...[PV]

Siffle strident dans le ciel rougeâtre , une silhouette danse avec les nuages. Sang doucement estomper au plafond de ce monde, laisse jouer ce faucon qui ne sais ou il va. Laisse le voler et virevolter dans les hautes altitudes... Prendre une dernière bouffer d'oxygène et en manquer dans son vol. Laisse cet animal se laisser retomber comme un cadavre des étoiles au volcan. Il pique il plonge. Dans un soupire, a quelques petits mètres du sol il déploiera ses ailes et se rapprochera encore doucement pour laisser des jambes courantes apparaitre dans les poussières volcanique des environs. Des nuages de magie de fée ardente l'entourait, alors que le visage de ce meurtrier ne c'était pas encore dessiner. Son énergie se vidait a grand pas, aux rythmes de ses jambes. Voici la tête de ses larmes. Il n'était pas du genre de pleurer, mais a se dépenser quant il allait mal. Oh ! Grand frisson qui le possédait, l'homme monta en haut d'un volcan inspirer la douce chaleur de la lave qui lui brulera les poumons, sombre imbécile que fait tu vraiment ici ?
Regarde autour de toi, rien, une paysage dévaster par l'horreur et la rage de ses montagnes. Des montagnes aussi colérique d'un meurtre. Aussi colérique que toi. Ah ! Je comprends mieux. Est ce parce que ses montagnes sont aussi dangereuse que toi que tu aime être ici ? Tu te retrouve dans un environnement que tu connais ? Sans même prendre le temps de répondre, le tueur se précipita au pied du piton ardant, laissant son dos se courber pour devenir un de ses lion noir et rare, ses griffes entraient dans le sable gris, et sa fourrure devenir blanche, sans même que sa est voulu être volontaire. La fatigue finira par le prendre peu a peu, ou plutôt la flemme de continuer a se dépenser, et dans un rugissement qui raisonnera dans les montagnes de colère, le félins s'assit sur le sable, et regarda devant sois. Comme si... D'un coup il n'étais plus de ce monde...

Dans le ciel rouge, orangé et ardent pouvait apparaitre une silouhette noire dans le ciel. Misérable moustique grandit, grandit, devient nuisible puis rapace. Un être noir, sombre s'exilait de ce monde qui avait profondément changé, de ce monde qui l'avait profondément changé. Il ne cessait de croiser le vice, la trahison, le mensonge, la deception , la mort. Le désir de tuer devenait alors de plus en plus ardent mais le coeur ne se soumettait pas à cette chaleur infernale. Ce dernier, se souvenait alors des êtres qu'il chérissait, celles qui avait su éclairer son chemin obscursi par la vengeance et la colère. Sans elles, il serait dépourvu de toute conscience et vidé d'humanité, il serait devenu alors un monstre. De par son apparence et sa grande violence, la société le voyait ainsi, tel un criminel, un monstre sans âme et sans pitié; mais il savait très bien que ce n'était pas le cas.
Comme tout les autres jours, le déchu errait et découvrait de jours en jours les nombreux visages d'Erya. Il vacillait alors entre les volcans, prenant soin de planer au ras des pitons. Soudain un souffle de vie, attira son attention, un félin courant alors dans ces plaines desertiques ,ardentes et rocailleuses. Le dark angel choisit alors de le survoler ,semblant guetter comme un vautour un signe de faiblesse ou de vie. Pour une fois, il n'était pas seul à errer alors, il attendait de voir comment ça allait ce passer.
[dsl j'ai pas des masses d'inspi en ce moment/essaie de rp en fonction du rpgiste]

Une ombre se dessinait sous ses pattes. Le felins leva alors doucement les yeux, pour voir l'animal, un sourire amuser, qui pouvait se voir sur la gueule pleine de fourrure. Amertume reprit la course doucement puis d'un pas plus rapide, plus régulier, gravissant rocher, et pierre, comme pour monter rejoindre l'oiseau, comme un jeu enter les deux. Le lion noir sautait de montagne en montagne, pour finir par monter au plus au d'un volcan, qui ne bavait pas trop. Ou il était un soupçon a l'arbis. Du haut de sa tour de garde, il admira le rappasse, en se transformant en humain. Il s'assit alors sur la lave sécher par la temps, comme les larmes que les gens laisse couler, en observant ce ciel et l'inconnu...

L'être ténébreux ne restait que trop attentif aux mouvement du félin. Celu-ci bondissait sur chaque rocher et chaques pic pour tenter de le rattrapper dans son envol. Il restait sur un air neutre car au finalcela se traduisait par cela: ce félin pourchassait un corbeau dans l'espoir de s'en nourrir, pas de sa chair insuffisante à ses besoins.... mais de sa fierté. C 'était un lion après tout, le roi de la vie sauvage. Il ne s'étonnait pas que celui-ci veuille lui montrer sa puissance inégalable, et c'est précisément là qu'il faisait une erreur, une erreur que le déchu lui-même avait reproduit à maintes reprises: c'était sa confiance. Il se montrait sûr de lui, sûr de pouvoir battre un oiseau sur son terrain....Pourquoi pas? ça promettais d'être interrssant autant pour lui que pour cet animal, il le voyait à son sourire inscrit sur sa gueule, cela ne se voyait peut-être pas mais le rapace avec une sorte d'intuition pour ces choses. De plus, pour attraper ces proies avec succès il se devait de les étudier minutieusement.

Il montait finalment sur le haut d'un volcan endormi. Il s'arrêtait alors pour regarder le dark ange toujours en vol. Pendant ce temps, ce dernier ne cessait de tourner en rond afin d'avoir une meileure vue d'ensemble. Après un ou deux tours, il piqua brutalement sur sa cible en pliant ces ailes et laisser son propre poids lui donner une vitesse qui dépassait de loin ces espérance. Que de bonheur était-ce que de sentir le vent frapper son visage et voir le sol s'approcher à grande vitesse; c'était une sensation unique dont il ne s'en lassait pas, l'emplissant alors d'adrénaline, assez pour le rendre attentif au moindre clignement d'oeil de ce type. Il dépliait ces ailes à trois mètres pour freiner brusquement sa descente. Sur le moment il était dévoilé au final avant de retomber doucement sur le piton. Il ne savait si ce "roi" avait compris mais là résidait une faiblesse de cet être volant: il est très difficile de passer du rapide au lent puis du lent au rapide: cela le génait dans ces déplacement rapides mais il avait appris à faire avec.
Il resta immobile face à l'animal, ces yeux rouges confronté à son regard sauvage; un long silence pesait en ce lieu isolé...Sur qui était-il tombé cette fois?

Il n'allait pas tarder à le savoir...