La faim de la nuit [terminé]

Invité

Cela fait maintenant plusieurs semaine que le vieux l’avait laissé seul dans cette maison devenue vide et sans vie, seul face a une ville qui ne sait rien de lui avec un secret s’en doute trop lourd pour une seule personne. Qui voudrait encore lui parler si son secret venait à être révéler ? S’en doute plus personne, forte heureusement il n’y avait pas grand-chose qui le trahissait, mise a part ces éternuement, bah qu’importe. Comme chaque jours après s’être levé, il prit une douche suivit d’un petit déjeuner, pour le reste, il passa son temps devant sa télévision a ne rien faire d’autre. Les courses ? Oui quand cela devenait nécessaire et qu’il n’avait d’autre choix il allait les faire, mais disons plutôt qu’il les fessait de façon régulière pour ne pas avoir trop de poids a porté en une fois, mais cela n’avait rien d’une vie très passionnante. Que pourrait-il faire ? Travailler ? Peut-être…s’en doute…

Mais pour l’heure, il regardait la télévision, où pourrait-il travailler ? C’était plutôt ça la question a se poser, avec sa faible expérience et ses connaissance, c’est a peine s’il pouvait travailler dans un grand magasin, alors où aller travailler ? Le temps passait et passait mais jamais aucune réponse ne lui venait alors comme a chaque fois il laissait tomber et se contenta de regarder la télévision, sans penser a quoi que se soit. Mais il y a des fois où l’on veut certaine chose, ne vous sont-ils donc jamais arriver d’avoir envie d’un coup d’une chose ? Sans arriver a vous la retirer de l’esprit car il est focaliser sur cette même chose ? Si oui, alors vous comprenez ce qu’il venait d’avoir, il avait une terrible envie d’une pizza…c’est simpliste et banal, mais il en voulait une. Mais attention, une vrai cuite dans un vrai four a pizza au feu, il ne lui restait qu’une solution…aller a la pizzeria la plus proche.

Un bon moment de sa journée c’était déjà écouler en se moment même, et la nuit battait son plein, mais cette envie de pizza était réellement plus forte. Depuis que le vieux était mort, il avait enfin peut gouter certaine chose qu’il n’avait jamais peut et de nouveau gout et de nouvelle envie était apparu même si celle-ci l’intriguait énormément parfois. Cherchant un peut, il fini par trouver la pizzeria la plus proche, elle était quand même a une bonne marche a pied de chez lui, malgré cela son envie ne fut aucunement touché, bon et bien puisqu’il en était ainsi, il retourna dans sa chambre pour se changer et mettre des vêtements plus adapter. Il s’habilla d’une chemise rouge et d’un jean noir, une paire de chaussette noire, et des chaussures normales, il mit par-dessus tout cela une veste noire qu’il ne ferma nullement.

Clé en poche, ainsi que le portefeuille, il pouvait sortir de chez lui tranquillement, il mémorisa le chemin a prendre et activa l’alarme avant de sortir de chez lui fermant convenablement la porte derrière. Il était prêt pour y aller, mais que devait-il faire ? Prendre le chemin normal par les trottoirs bien illuminer ce qui lui prendrait un certain temps ou bien couper par les ruelles plus sombre et y arrivé plus vite ? a y réfléchir les ruelles ne lui fessait nullement peur, ce qui l’ennuyait plutôt était le risque de se dévoiler ou de se faire piéger, mais bon, il n’y avait jamais eu de soucis jusqu'à présent alors pourquoi y en aurait-il un maintenant ? C’était décider, il allait prendre les ruelles, ceci serrait surement mieux !

La décision prise, j’avançai dès lors vers ces fameuse ruelle sombre que beaucoup craignait, il est vrai qu’habituellement les gens ne semble pas être a l’aise dans le noir. C’est un concept intéressant, mais que je n’arrive pas encore a totalement comprendre ni cerner, j’ai comme hypothèse que cela reste une peur renfermer que ceux-ci essaie de cacher. Mais bon l’heure n’est pas aux réflexions mais a la dégustation ! Cette pizza e donne terriblement faim, et me fait envie, j’avança dans la ruelle a mon aise, mes pas résonnèrent et donna une impression d’être suivit, pourtant je savais bien que j’étais seul, donc me retourner ne servait a rien, et quand je sortirais de ces ruelles, la pizzeria ne serrait pas loin, sauf si je fais ne mauvaise rencontre, ce que je n’espère pas.

Invité

Les gens évitaient par-dessus tous les endroits lugubres, comme les ruelles sombres ou les endroits peu fréquentés. Et avec raison. Des créatures étaient tapies dans l'ombre, cherchant une future victime. Mais, certains s'y promenaient, croyant que ses dangers n'étaient pas réels, qu'ils n'étaient que le fruit de l'imagination de pauvres fous qui affirmaient avoir été attaqués par des monstres. La plupart du temps, ils en payaient le prix. Soit on retrouvait leur corps, soit on les retrouvait avec des blessures bien étranges, bien souvent inexplicables. Après leurs mauvaises aventures, ils racontaient ce qu'ils leur étaient arrivés et les rôles s'inversaient, c'était eux les fous à présent. Tien, puisqu'on en parle, quelque chose d'intéressant se passait dans l'une de ses fameuses ruelles.

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Un silence inquiétant régnait sur les lieux. Puis, un faible gémissement se fit entendre, provenant d'un coin plongé dans l'ombre. Un homme se tenait là, vidé petit à petit de ses forces, ses jambes prêtes à céder à tout instant sous son poids. Mais un bras autour de sa taille le tenait solidement pour l'empêcher de s'écrouler au sol. Une jeune femme se trouvait derrière l'homme, c'était elle, ou plutôt moi, qui le tenais. Mon regard, habituellement si sombre, brillait doucement dans les ténèbres, animé par une étrange lueur rougeâtre. Mon visage était penché sur son cou à découvert, mes crocs plantés dans sa chair pour faire couler son sang qui envahissait ma bouche.

J'affichais une légère grimace de dégoût tandis que j'avalais ce liquide si vital à ma survie. Son sang avait un goût infect ! Il avait un goût amer, sans doute cet homme avait bu quelques verres avant de se risquer dans cette ruelle. Si j'avais su, j'aurais choisi une autre victime que celle-ci. J'espérais que ma prochaine proie n'aurait pas fait un tour au bar avant de s'aventurer ici. Puisque je ne voulais pas tuer mes victimes, je ne buvais que la moitié de leur sang avant de passé à la prochaine, ainsi de suite jusqu'à ce que je sois rassasiée pour la nuit. Ainsi était sa vie, le jour elle dormait, la nuit elle attaquait puis elle se cachait, loin de la civilisation. Une vie… plutôt pesante.

Un bruit attira mon attention. Des bruits de pas approchant. J'écartais mon visage du cou, fouillant du regard la ruelle. Tout au bout de celle-ci, quelqu'un venait tout juste d'emprunter la ruelle. Un homme si je me fiais à sa démarche. Un gêneur… ou mon futur repas. J'en avais justement terminé avec cet homme-ci. Je posais celui-ci au sol, l'essayant, le dos appuyé contre le mur. Sa tête tomba mollement sur son torse. Il donnait l'impression qu'il dormait. Bah, c'était presque ça. En faite, il avait perdu conscience, ayant eu la trouille de sa vie quand je l'avais agrippé par-derrière au moment où il passait devant moi.

J'essuyai le sang sur ma lèvre inférieure du revers de ma main avant de sortir un chiffon de la poche de mon manteau. Mes crocs avaient laissé deux petits trous dans le cou de l'homme, je les nettoyai, un peu de sang s'échappant encore de ceux-ci. Puis, je me redressais pour m'éloigner un peu pour me cacher dans les ténèbres. Mon manteau noir m'aidait grandement à me fondre dans le noir. Il ne restait plus qu'à attendre maintenant. Soit il allait remarquer l'homme allongé au sol, soit il allait passer devant lui pour ensuite passé devant moi. Peu importe, dans les deux cas, je l'attaquerais par-derrière.

(Bon hum… pas trop d'inspiration.)

Invité

Mes pas résonnèrent dans cette ruelle qui devenait de plus en plus sombre a chaque pas que je fessais, mais il y régnait une légèrement luminosité suffisante pour guidé quelqu’un dans ces ruelles. Cette situation aurait peut me faire froid dans le dos, si je pouvais avoir froid, chose qui depuis longtemps m’était devenu impossible, ayant été exposé a des froid extrême. Je me souviens encore de ces moments où je n’y étais pas encore habituer, j’avais l’impression que mon corps devenait lentement un bloc de glace et que le moindre choque allait me tuer ou encore que le froid allait me tuer tout simplement, mais rien. J’ai toujours survécu et je m’habituais a se froid, il allait alors a des froid de plus en plus extrême, on aurait presque dit qu’il cherchait à me tuer, je n’arrivais même pas a pleurer la moindre goutte d’eau gelait instantanément, dire qu’ils auraient peu vraiment me tuer . D’ailleurs en y repensant a ces ruelles, cela me fait penser que j’ai entendu quelque chose la dessus à la télévision…

En effet, depuis peut les informations parlait d’une chose intriguant concernant les ruelles du quartier, des personnes ont été retrouver a moitié morte, vidé de leurs sang. Aucune n’avait de point commun hormis le faite d’être passé par l’une de ces ruelles la nuit, seul, même des personnes forte on été retrouver, la chose la plus intriguant fut qu’ils avaient tous deux trou dans le cou, comme une morsure. Cela fit resurgir les histoires de vampire et de démon de la nuit, ces créatures qui boivent le sang des gens innocent pour se nourrir et survivre, qui déteste la lumière, l’ail et le croix catholique. Même si le principe des croix catholique n’a au fond pas de sens ce n’est qu’un objet banal et stupide, mais cela ne reste qu’une histoire, et même si cette créature existait cela voudrait-il vraiment dire qu’elle serrait ici ?

J’avais du mal a y croire qu’une telle chose pouvait être ici, existé au fond je n’en doute pas, après tout j’existe bien moi, issu de l’eau et de la glace deux éléments similaire. Alors pourquoi pas un vampire ? Je continua donc d’avancer m’étirant un grand coup cela fessait du bien, je tourna a gauche quand je peux, j’étais bientôt arriver, mais voila quelque chose d’inhabituel attira mon regard, une silhouette contre un mur et au sol ? Cette histoire était donc vraie ? Ou bien…peut-être que ce n’était qu’une personne banal qui c’était effondrer ? Je devais en être sur et en avoir le cœur net, mais était-ce bien prudent de faire une telle chose ? Après tout si je m’étais trompé…mon cœur s’accéléra d’un coup et j’avança doucement vers cette silhouette…Je n’espérais qu’une chose…avoir tord…au plus profond de moi je voulais juste m’être tromper…juste…m’être tromper…

J’arriva finalement pour constater rassuré qu’il ne s’agissait que d’un homme écrouler…ouf…d’ailleurs il sentait l’alcool, il avait du trop boire et voila tout. N’ayant surement pas supporté le trop plein d’alcool il c’est effondrer, mystère résolu…et j’étais d’un coup énormément rassuré. Me redressant doucement j’allais pouvoir continuer mon chemin jusqu'à cette pizzeria, cette histoire avait augmenté ma faim et mon envie de déguster cette succulente pizza. J’étais face a l’homme et dos au reste de la ruelle qu’il me restait a traverser pour y arriver, mais une odeur vint me chatouiller les narines, cette odeur…si elle continue je vais éternuer ! Ce n’est pas bon du tout il ne faut pas ! Vite vite que faire !

[Navré c’est cours, mais j’étais assez limité avec ta réplique ^^’, d’ailleurs je t’envoie un petit mp concernant l’éternuement. ]

Invité

La faim me tordait le ventre. Ma gorge me brûlait. J'avais encore un goût de sang en bouche, faisant grimper ma soif de sang d'un bon grade. Le peu de sang que j'avais bu à l'ivrogne n'avait pas suffi à apaisé ma faim, il m'en fallait beaucoup plus si je voulais passer cette nuit sans laissé de cadavres derrière moi qui me hanterais pour le reste de mes jours…. Pour l'éternité en gros. Je suivais du regard l'homme qui approchait, ne le quittant pas une seule seconde. Je me voyais déjà planter mes crocs dans son cou, le sang qui remplirait ma bouche... Soudain, je réalisais à quoi je pensais. Je grognais légèrement, à peine audible, frustrée contre moi-même. Moi qui détestais tant blesser les gens, détestais devoir me nourrir d'eux, voila que je commençais à rêver du moment où je me régalerais d'eux ! Pathétique… Je ne pouvais même plus contrôler mes pensées dans ma période de chasse.

Frustré contre moi-même, je n'avais pas remarqué immédiatement que ma future victime s'était penchée pour observer l'homme que j'avais agressé il y à un moment. Sans doute pour prendre conscience de son état. Qu'il découvre ou non ce qui s'était passé ne changerait rien à ce que j'avais prévu de faire. Mettant de côté mes problèmes de conscience pour me concentrer sur le moment présent, je sortis de l'ombre et m'approchais silencieusement de l'homme. Une dizaine de pas et j'étais derrière lui, sans avoir fait un seul bruit qui aurait pu trahir ma présence. Il était préférable que je le prenne par surprise que de le pourchasser dans les ruelles s’il prenait peur ou de le combattre, malgré que son cas serait vite réglé. J'aurais tôt fait de le rattrapé ou de le mettre hors circuit. Enfin… j'avais toujours le choix d'attendre un prochain repas. Enfin, peu importe, ce ne sera pas ce qui se produira, enfin… pas avec lui.

Je suivais les moindres gestes de l'homme, attendant le moment propice pour le surprendre par-derrière. J'étais si proche… et pourtant il ne percevait pas ma présence. Un avantage pour moi, un désavantage pour les humains dont les sens étaient peu développés, faisant d'eux des proies faciles pour toute créature ayant de mauvaises intentions à leur égard. Finalement, il se redressa, visiblement satisfait de ce qu'il avait découvert. Peu importe. Mon regard se fixa sur son cou. Je voyais ses veines, le sang qui y circulait. C'était déjà trop pour moi qui étais affamée. Brusquement, je glissais un bras autour de sa taille et l'autre autour de ses épaules pour qu'il ne puisse fuir. Il était pris au piège. Il ne pouvait que subir ce que je m'apprêtais à faire. Je retroussais mes lèvres pour dévoiler mes crocs, prête à planter mes crocs dans son cou pour boire son sang. Cependant, la suite fut assez… spéciale.

Ses mains vinrent sur les miennes, ce qui n'était pas suffisant pour m'arrêter. Par la suite, il éternua. Ironique vu la situation, j'aurais même pu répondre un "À tes souhaits". Mais, ce qui m'arrêta au moment où j'allais le mordre, ce n'était son éternuement, mais une sensation que je n'avais pas sentie depuis bien longtemps. Une sensation de froid au niveau de mes mains. Surprise, je lâchais l'homme et reculais, fixant mes mains à tour de rôle. Je fus encore bien plus surprise quand je trébuchais pour tomber sur les fesses ! Je n'étais jamais tombée depuis… depuis que j'avais ouvert les yeux en tant que vampire ! Sans doute, car j'étais choquée. Mais, je m'en fichais bien pour le moment d'être tombé. Cette nouvelle sensation que je découvrais de nouveau… m'Intriguait ! Moi qui ne ressentais plus la morsure du froid, voila que je la sentais. Je levais les yeux vers l'homme, murmurant davantage pour moi que pour lui.

-Qu'est-ce que tu es ?

Il y a à peine un instant, je ne pensais qu'à boire son sang, mais maintenant, je voulais tout savoir sur lui. Comment il avait fait pour… geler mes mains ? Je n'avais pas de doute sur cela, c'était bien lui qui avait fait ça, mais comment ? Il pouvait faire ça à volonté ? Depuis quand il le pouvait ? C'était inné chez lui ou bien c'était dû… à je ne sais quoi, des expériences peut-être ? Mais, d'autres questions plus tracassantes me traversèrent l'esprit. Que devais-je ? Fuir ou rester maintenant qu'il me regardait ? Je ne pouvais pas l'attaquer comme ça. D'ailleurs, cette histoire m'avait coupé l'appétit. À quelle conclusion était-il venu quand je l'avais agrippé par-derrière? Que faire…

Invité

Le temps était calme durant cette douce nuit, une nuit comme les autres où le ciel fut pour une fois suffisamment dégager pour que l’on puisse observer les étoiles. Enfin, a la condition que l’on ne se trouve pas dans un endroit trop éclairer, sinon on y verrait pas grand-chose. Le saviez-vous ? Si vous vous trouvez dans un endroit trop éclairé, par une sombre nuit au ciel dégagé, vous ne verriez cependant aucun étoile, tout cela a cause de la luminosité trop importante et par un effet de lumière dans l’œil. Enfin tout ceci ne sont que des termes techniques. Le ciel remplit d’étoile, laissait rêveur ceux qui l’observait, de plus petit enfant, qui depuis son lit regardait par sa fenêtre en imaginant quel serrait son futur, a la personne la plus âge, qui depuis son siège se remémorait les meilleurs moments de sa vie.

Se sont d’ailleurs les rêves qui donne l’espoir et donne a chaqu’un de nous la force de faire nos premier pas, enfin c’est du moins vrai pour les humains. Même si d’autre on moins de chance et que leurs première pas furent légèrement forcer par la science ou des scientifiques. Un vent doux et léger accompagnait cette même nuit, un vent qui se fessait agréable quand il soufflait doucement sur la peau, la refroidissant légèrement par rapport au temps courant qui lui se fessait quelque peu plus chaud. Ce n’était pas non plus un vent hivernal ou polaire, ni un vent d’hiver, mais un simple vent d’été, un vent de brise, un vent de plaisir. Ce même vent qui soufflait doucement dans cette ruelle sombre et lugubre où se trouvait trois individu, se même vent qui semble au même moment a l’opposer exacte de cette ruelle dans la même ville.

Cette ruelle mal éclairer et lugubre, qui est crainte par bien des personnes, mais quand on y regarde de plus près on comprend pourquoi. Les murs sont de brique avec des tag des gang ou voyou du quartier, ils ne sont pas entretenu et sont assez horrible a voir. Oh mais si il n’y avait que ça ! Au pied des murs se trouvait généralement des poubelles ou des déchets dont les gens se débarrassait n’en n’ayant plus besoin, ce qui donnait en plus aux ruelles une ordure infecte, mais encore par chance celle-ci n’avait que de simple poubelle fermer, mais les murs quand a eux était bel et bien couvert de tag. Les murs assez proches renvoyait l’écho du moindre bruit l’amplifiant parfois, ce qui est à l’ origine un simple bruit de canette qui tombe au sol, peut ainsi rapidement devenir un bruit horrible dont on ne préfère pas savoir l’origine.

C’est dans une telle ruelle et dans de tel circonstance que c’était aventurer Faelen, non pas aventurier, ni fou, mais simplement affamer. Il prit le chemin le plus rapide pour aller de chez lui jusqu'à la pizzeria la plus proche, comment se serrait il douter qu’un grand danger le menaçait en se moment même ? Surtout avec la présence de cet homme contre le mur a l’apparence assoupit, qui d’après l’odeur avait surement trop bu. Rien ne laissait a porter les soupçons sur la créature tapis dans l’ombre, une vile créature qui s’empare du sang des simple être humain. Ai-je bien dis simple être humain ? Et bien oui, car Faelen étais tout sauf un simple être humain, mais ça cette vile créature l’apprendrait peut-être a ces risque et péril.

Le vent souffla légèrement plus fort, alors qu’il venait de se redresser, fessant danser ces cheveux en arrière, durant se court laps de temps, il oublia tout. Tout ce qui l’entourait, tout ce qu’il avait vécu et même lui-même. Il savait juste une chose, qu’il était bien, étrangement bien a l’abri dans se court d’air plus froid que les précédent. Serais-ce l’appel du froid ? Aucune idée, la seule chose qu’il savait c’est qu’il était bien, et que se moment dura une éternité, une étrange éternité car en réalité elle ne dura que quelque seconde, alors que la vile créature s’approcha de lui, ne lui voulant certainement pas que du bien, mais se courant d’air porta autre chose en lui, quelque chose de léger et d’étrange une odeur a la quelle il ne pouvait pas résister et une horrible envie d’éternuer arriva…

Soudain une chaleur l’entoura, une au niveau de son épaule, l’autre de la taille, puis dans son dos, mais que se passait-il ? La vile créature venait de passer a l’attaque et l’avait attrapé. Dans un reflexe ses yeux s’ouvrir, et ses mains se posèrent sur celle de la créature, il ne savait pas ce qui se passait, était-ce quelqu’un de bien ? Ou quelqu’un qui lui voulait du mal, beaucoup de question aurait peu lui traverser l’esprit mais, il n’aurait pas assez de temps pour cela, et pour cause, son envie d’éternuer ne fessait qu’augmenter et finalement…il éternua. Cela pourrait paraitre banal pour beaucoup, ainsi que pour cette vile créature, mais en réalité il était touts sauf banal. Car a l’instant même où il avait éternué, il avait sans le vouloir utiliser sa faculté de gel, qui consistait a geler ce qu’il touche avec ses mains.

Selon la force de son éternuement, il pouvait aller jusqu'à congeler de l’eau, mais là par chance il ne fut que léger et donc c’était surtout un engourdissement qu’une personne normal aurait ressentit. Soudain la chaleur s’éloigna, et l’étreinte fut relâcher, zut quelle excuse il allait pouvoir trouver ? Qu’il avait les mains froides, qu’il y avait eu un gros courant d’air froid ? Qu’importe, il voulait déjà savoir pourquoi cette personne l’avait attrapé par derrière, c’est vrai non ? On attraper pas quelqu’un par derrière comme ça juste pour l’amusement, ce n’est pas logique ni même naturelle selon lui. Enfin peut-être, a dire vrai il n’en n’était pas vraiment sur a cause de son éducation vraiment médiocre on va dire sur la sociabilité. Personne n’est parfait et lui est loin de l’être, peut-être un peu plus que d’être et certainement moins que les autres.

Finalement il entendu un bruit de chute derrière lui, un bruit de chute ? Et bien oui, la vile créature venait de tomber a la renverse, s’en doute surprise de ce qui venait de se passer. Pourquoi surprise ? Car il s’agissait d’une fille, et pas une fille banal mais d’une vampire, si seulement il savait ce qu’il allait trouver devant lui quand il allait se retourner, mais bien sur il ne le serrait s’en doute pas avant un bon moment. Après tout on a jamais vu personne courir en hurlant, je suis un vampire !, ou encore qui l’imaginerait lui dire a tout le monde ce qu’il était, l’un comme l’autre était différent sans le savoir, un peu ironique même comme situation. Même si celle-ci avait un avant gout de sa capacité a gelé les choses. Mais s’en doute ne dirait-elle rien pour cause que lui ne pose pas trop de question sur elle. Mais voila qu’il est déjà temps pour lui de se retourner pour finalement affronter la vérité.

J’avais encore un peu du mal a comprendre ce qui venait de se passer, ce qui me préoccupa le plus ne fut pas spécialement que quelqu’un vienne par derrière, mais ce que j’allais dire pour ces mains. Ainsi je me retourna pour mieux constater les fait…Quel ne fut pas ma surprise voir une jeune fille, habiller de façon assez légère assit au sol. Assise a cause de la chute, puisque je l’avais entendu tomber en arrière, a cette constatation, j’émis une hypothèse, et si elle avait été affaiblit et qu’elle m’était tombé dessus ? Ainsi mon éternuement, l’aurait effrayé et elle serrait tomber en arrière ? En tout cas elle tenait la route, par ces mains…d’un simple regarde je constata qu’elle n’était pas bleu, donc signe qu’elle n’était pas geler…étrange ? Peut-être que mon éternuement n’avait pas été suffisamment puissant pout activer le gel…tant mieux dans un sens

Mais que pourrais-je bien dire ou faire maintenant ? Et voila que mon ventre crie famine, quelle stupidité, je fus un peu gêner ? Par la situation, mais je devais au moins me montrer polis pour ce que j’avais fais, après tout c’était ma faute si elle était tombé au sol et si elle c’était peut-être fait mal. J’approcha alors d’elle, pour arriver au niveau de ses pieds, de plus près je peux constater qu’elle était en réalité assez mignonne. Rah, mais a quoi je pense moi ? Je l’ai fais tomber et j’ai faim, en plus je suis….bref, je n’ai pas a penser a ceci ! Je tendis ma main vers elle en lui souriant, je devais m’excuser pour ce que je venais de faire ! C’était une priorité !

« Tu va bien rien de casser ? Je suis désoler pour…ça..Mh…puis-je te proposer de…venir chez moi ? Je vais justement chercher une ou deux pizza pour manger, alors si tu a faim… »

Pauvre Faelen, si seulement il se doutait de ce qu’il avait face a lui, il la voyait comme une simple jeune fille, et elle surement comme un simple jeune homme. Pour quelle raison accepterait-elle d’aller chez lui ? A moins qu’elle n’ai dans l’idée de le piéger, qui sais vraiment ce qui peux penser une vampire. En tout cas, il avait ait preuve de gentillesse, et cette situation avait un certain charme. Deux personnes d’apparence humains, qui ne le sont pas vraiment, l’un qui veut aider l’autre, chaqu’un voulant cacher sa nature a l’autre. Cette situation pourrait devenir encore plus amusante, si elle se mettait a faire la jeune fille humaine en acceptant sa proposition pour cacher qui elle est, et lui devant faire attention a ne rien laisser paraitre non plus. Un ciel étoiler…et une étrange rencontre…la faim est vraiment étrange n’est-ce pas ?

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La sensation d'engourdissement dans mes mains avait disparu et j'avais posé celles-ci contre le sol. Je sentais le froid du ciment sous moi, la fraîcheur du mur de la ruelle dans mon dos, refroidi par la fraîcheur de cette soirée. Pourtant, bien que je la sente, elle ne m'indisposait pas. De toute façon, ma peau était déjà glacée, alors cette température m'était familière, contrairement à l'humain qui la fuyait pour trouver refuge dans des endroits chauds et confortables. Ils s'enfermaient la nuit et ne ressortaient que le jour, quand le soleil se montrait pour réchauffer cette ville. La chaleur, le confort, le soleil… ce luxe m'était à présent interdit. Je ne pouvais vivre que dans les ténèbres… enfin, ce n'était pas tout à fait vrai. Bref, en ce moment, je m'en fichais. Peut-être donnerais-je des explications plus tard.

Mais, pour l'instant, j'étais davantage préoccupée à tenter de deviner le prochain geste du jeune homme. Il s'était approché de quelque pas. Mon corps s'était crispé, prêt à bondir pour fuir ou l'attaquer. J'hésitais toujours entre les deux. Fuir était sans doute la meilleure solution. Je disparaîtrais et il ne me retrouverait jamais. Mais si je l'attaquais, que ferais-je ? Je n'avais pas une grande expérience en matière de combat. Habituellement, je prenais les gens par surprise, alors il ne m'offrait pas une très grande résistance. Mais dans d'autres circonstances, comme celle-ci, j'ignorais comment pouvait réagir mon adversaire. Mon inexpérience pouvait aussi bien causer ma perte. Enfin… ça dépendait s’il avait les armes appropriées. Apparemment, un vampire ne peut être tué que lorsqu'on lui tranche la tête ou qu'on lui embroche le cœur. Je n'avais pas envie de tenter le coup.

J'allais me redresser, décidée à fuir, lorsqu'il tendit sa main vers moi en souriant. Je fixais en premier sa main tendue vers moi. Celle-ci m'avait déjà donné un avant-goût de ce qu'elle savait faire. Bien que le froid ne me gêne pas et que sa faculté de geler m'intrigué, je ne me sentais pas prête à revivre l'expérience. Qui sait ce qu'il pouvait faire. Il pouvait très bien me transformer en glaçon, peut-être même qu'il pouvait faire autre chose. Je n'en savais rien et je ne voulais pas savoir. Enfin, tant que je ne connaissais pas ses intentions, peut-être dans d'autres circonstances. Je levais les yeux sur son visage, l'examinant, cherchant un indice qui pourrait m'indiquer ce qu'il comptait faire. À part son sourire et une expression de gène sur son visage, je ne voyais rien d'autre.

« Tu va bien rien de casser ? Je suis désoler pour…ça..Mh…puis-je te proposer de…venir chez moi ? Je vais justement chercher une ou deux pizza pour manger, alors si tu a faim… »

Je penchais la tête, surprise par sa proposition. Venir chez lui ? Il ne se doutait donc pas que mes intentions avaient été mauvaises quand je l'avais agrippé par-derrière? Visiblement, non. À quoi avait-il donc songé, alors ? Je me le demandais bien. Si seulement j'avais pu lire les pensées des gens ! J'aurais pu le savoir et deviner ses intentions plus tôt au lieu de m'inquiéter inutilement. Je prenais donc sa main pour me redresser. Je prenais note en même temps a quel point elle était froide. Je n'avais donc pas imaginé ce qui c'était produit. J'étais à la fois soulagée de n'être pas folle et un peu inquiète qu'il pouvait geler ce que bon lui semblait. Je m'examinais brièvement pour découvrir que mon manteau était fichu. Il s'était déchiré en trébuchant. Je soupirais, même si je me fichais complètement de ce manteau.

-Ça va, mais je dois dire adieu à mon manteau.

Je levais les yeux vers le jeune homme, le détaillant tout en réfléchissant à sa proposition de venir chez lui. Il était pas mal malgré ses cheveux blancs disons… hors du commun. Je le fixais un long moment dans les yeux, puis fronçais légèrement les sourcils. Avec ma vision plus poussée, je venais de remarquer la petite pellicule sur ses pupilles. Des lentilles ? Il avait quelque chose à cacher ou c'était simplement une question d'esthétique ? Bah, peu importe, je finirais bien par le découvrir. Têtue comme j'étais, j'étais bien décidée à tout découvrir sur lui. Mon inspection de sa petite personne faite, je réfléchissais au pour et au contre pour aller chez lui. Je n'y voyais pas vraiment de mal. Je pouvais toujours simuler d'avoir froid, me donnant ainsi une réelle raison d'accepter son offre, histoire de me réchauffer avant de rentrer "chez moi".

-J'accepte. Je trouvais justement qu'il commençait à faire froid. Mais juste le temps de me réchauffer.

Comme pour appuyer mes dires, le vent froid de la nuit s'infiltra dans la ruelle, habituellement protégé par les murs, et vint jouer dans mes cheveux, voilant ma vue. Je glissais une mèche de cheveux plutôt gênante derrière mon oreille puis attachait mon manteau pour me protéger contre le froid, rentrant ma tête entre mes épaules, donnant ainsi l'impression que j'avais "vraiment" froid. Enfin, j'espérais que j'en donnais l'impression. Je n'étais pas vraiment habituée à jouer à l'humaine. Je restais plutôt à l'écart des gens, alors je n'avais pas à jouer la comédie ainsi pour passer inaperçue. Il ne me restait plus qu'à le suivre jusqu'à la pizzeria puis jusqu'à chez lui.

-Je te suis.

Invité

Ainsi donc elle accepta l’invitation, sans rien de plus, elle ne l’attaquerait pas, et n’esseyerait rien ? Ce se qui fut s’en doute la situation la plus inatendue et la plus intéressante, qu’allait-il donc bien pouvoir se passer, quand deux monstres se rencontre, pensant que l’un et l’autre sont humain. Se vent frais souffla encore dans cette ruelle, sombre et lugubre, les murs chantèrent et leurs cheveux dansèrent. Il resta incroyablement neutre dans cette situation, il ne bougea pas, il l’aida simplement a se relever, pourquoi craindre ce que l’on ignore ? Pourquoi avoir peur, quand on ne sait pas ce qu’elle signifie, c’était aussi simple que cela, il ne connaissait pas la vie, mais bien la mort, mais on ne lui avait pas appris la peur, par contre il connaissait la souffrance. Dans sa poitrine battait un cœur meurtit de souffrance, enfin…si son cœur n’était pas déjà geler dans la glace.

Par contre quelque chose attira son attention, et cette chose fut la main de cette jeune fille, il ne sentit aucune chaleur émaner de ça main. Hors quand il sentit des mains, elle était toujours chaud et douce, ici, elle était…normal ? Il n’aurait su décrire se sentiment, il sentait la main, mais pas de chaleur, ni de froideur au fond, se fut quelque chose de vraiment très surprenant…Je m’attendais a ressentir un chaleur, même si au fond de moi cela éveilla quelque chose, un sentiment étrange, peut-être de la curieusité, curieux de savoir pourquoi sa main n’avait aucune chaleur. Mais n’est-ce pas en partie de ma faute ? Je venais de les geler, je ne sais pas, cela est vraiment étrange…Mais il n’était pas encore arriver a la pizzeria, où était-elle d’ailleurs cette pizzeria, ne devrait-il pas déjà y être arriver ? Elle le suivait…mais qui allait-il suivre lui ? Qu’importe, il continua son chemin, maintenant suivit, de cette jeune fille, et se retrouva nez-à-nez avec ce qu’il recherchait…

Nous sommes entrer tout les deux dans la pizzeria une fois que nous l’avions trouver, il n’y avait personne, enfin pas d’autre client devrais-je dire. Un homme semblait s’occupé des commandes, on s’avança dans la pizzeria, fermant la porte derrière nous, à peine fut-elle fermer, que l’homme se tourna vers nous, nous observant. Je l’observa a mon tour, il était habiller en blanc avec un tablier, ce qui pouvait sembler normal, pour travailler dans une pizzeria, mais ce qui me choqua le plus fut ces yeux. Ces yeux…n’était pas normal…en eux une lueur…une lueur étrange, de son simple regard j’avais l’impression qu’il lissait en moi, que ces yeux persait ma vériter, et cette lueur rougatre…j’avais l’impression qu’a tout moment il allait me bondir dessus pour me…tuer ? Un long et lent frisson parcoura ma collone vertèbrale, cette jeune fille qui m’accompagnait avait du elle aussi ressentir cette chose, se sentiment d’impuissance face a cette homme, il se montra d’ailleurs très étrange et mystérieux, même quand il prit parole…

« Bonsoir, bienvenu dans ma pizzeria, dite moi, vous êtes ensemble ? »

« Heu…oui ? »

Dans un tel moment on ne réfléchit pas toujours a nos paroles, Faelen pensa que l’homme demandait si il était ensemble pour la commande, mais l’homme demanda bien plus…et l’un comme l’autre ne pouvait même pas se douter du reste.

« Oh, laisser moi alors vous préparer une pizza spécial pour chaqu’un, elle ne coutera pas cher, et je suis sur que vous allez adorez. »

« Et bien...d’accord…merci beaucoup… »

Cet homme était tellement étrange, il était normal, mais sa présence semblait être si…lourde, que je ne pouvais pas refuser ca proposition pour les pizza spécial. Que préparait-il donc ? Au fond, je savais qu’il ne préparait rien de dangereux mais cela était tellement étrange, et sa présence se fessait ressentir partout autour de moi. Je me tourna d’ailleurs doucement vers la jeune fille pour la regarder, je voulais savoir si elle était aussi perplexe que moi ou non quand a cette situation, d’ailleurs je pouvais maintenant la voir plus en détails grâce a la lumière, des cheveux noir aux mèches blondes et lisse, des yeux noir comme l’èbéne, et un peau qui semble lisse comme une pèche. Dans le fond, elle était vraiment mignonne, j’avais eu de la chance de tomber sur elle, enfin qu’elle me tombe dessus, même si je sais pertinament que je ne lui parlerais que ce soir, et surement plus jamais après cela….

Il est vrai que cet homme fut très étrange et pour cause, il l’est vraiment. Qu’est-ce que cela pouvait-il bien signifier ces pizzas spécial qu’il voulait tant leurs préparer ? Et pourquoi a eux ? Tant de questions, mais si peu de réponse, l’homme s’activait a la tâche de préparer ces deux pizzas, il semblait même ravis de les faires, il faut dire, que l’on a aps tout les jours ce genre de client. Bientôt la bonne odeurs des pizzas se fit sentir, une douce et délicieuse odeur, dont ils urent surement beaucoup de mal a ne pas avoir l’envie de la renifler pour l’apprécier. Vu que l’on sent l’odeur, cela signifie que c’est bientôt prêt, et elle le furent, l’homme ne tarda pas a les mettres dans les boites en cartons, pour concerver toute la cheleur, mais ce qui fut étrange, c’est ce qu’il fit après, sur l’une il mit un point rouge avec un marqueur, et sur l’autre, un point bleu. Il les déposa, et Faelen les paya, l’homme reprit alors la parole…des paroles bien étrange.

« Merci de votre attente, celle avec le point bleu est pour vous jeune homme, celle avec le point rouge est pour vous jeune fille et croyez moi, cette pizza ne vous restera pas sur l’estomac, et vous serrez sans aucun soucis la manger. »

Ces paroles furent bien étrange, mais au fond, c’était comme un coup de pub, pour dire que ces pizzas ce laisse manger sans aucun problème. Je les pris donc en le remerciant et préféra sortir de celle-ci avec les deux boites en main, toujours suivit de la jeune fille.

« Il est bien étrange…bien…pour aller chez moi, il faut passer par la ruelle, ça ira plus vite, mais dépêchons nous, les pizzas vont refroidir. »

C’est vrai que les paroles de l’homme pouvait être interpréter de beaucoup de façon, pourtant la dernière phrase qu’il avait dit a l’intention de la jeune fille, n’était pas pour son apparence humaine, mais bien pour sa condition de vampire. Elle l’avait peut-être remarqué, cet homme au regard perçant qui était-il donc vraiment ? Comment avait-il fait pour savoir ? Et…qu’est-ce donc ces fameuse pizzas « spécial » qu’il avait préparer ?

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Je suivais le jeune homme, à quelque pas de lui. J'observais le ciel au-dessus de nos têtes. Les étoiles ainsi que la lune avait disparu. Des nuages lourds et sombres étaient venus les camouflés. Bientôt, le ciel allait se déchaîné sur cette ville. Il faudrait que l'orage éclate pendant que je serais chez le jeune homme, ainsi, peut-être m'inviterait-il à resté pour la nuit. Un plan qui dépendait de la galanterie d'un jeune homme qui ne laisserait pas une jeune fille sortir pendant un tel déluge… ou peut-être que si. J'espérais bien que non, je voulais rester le plus longtemps pour pouvoir percer son secret. Je n'abandonnerais pas si facilement. Il était rare maintenant que quelque chose m'intrigue autant. Quand on à l'éternité devant nous, on prend le temps d'observer ce qui nous entoure et de résoudre tout les mystères de la vie. Je l'avais fait pour la plupart de cette ville.

Je baissais les yeux sur le jeune homme et il s'en fallu de peu pour que je lui rentre dedans. Il s'était arrêté, histoire de retrouvé ses repaires, étant tout juste sortie de la ruelle, puis il m'emmenait en direction d'une pizzeria juste en face. Je le suivais, toujours derrière lui. Vu de l'extérieur, c'était une pizzeria tout a fait normal, mais une fois à l'intérieur, l'impression était toute autre. Déjà, l'atmosphère était étrange. C'était… lourd. Les odeurs, à part celle de la sauce tomate qui était assez forte, m'étaient inconnues. Je fouillais l'endroit du regard, tentant de trouver la source de toutes ses nouvelles odeurs quand je rencontrais le regard d'un homme, celui qui faisait visiblement les pizzas ici, et le seul. Un regard si étrange… mais qui ne m'était pas étranger. Il ressemblait au moins quand… je buvais du sang. Un vampire ? Non, il n'en n'avait pas l'odeur. Quoi alors ? Certainement pas un humain.

« Bonsoir, bienvenu dans ma pizzeria, dite moi, vous êtes ensemble ? »

« Heu…oui ? »

Je m'apprêtais à répondre un "non", mais le jeune homme fut plus vite que moi. Sa réponse fut plutôt surprenante. Pourquoi un oui ? Nous n'étions pas ensemble ! Et je ne croyais pas que ca puisse arriver entre lui et moi. Enfin, il y avait peut-être une explication. Il semblait plutôt troubler par l'homme. Pas étonnant, il était assez étrange avec ce comportement et ce regard à donner des frissons dans le dos. La suite des évènements, ou plutôt des paroles de l'homme, furent assez surprenantes, et intrigantes. Mais je ne disais rien, malgré ma curiosité, et laissait les deux parler ensembles. Je tentais plutôt de regarder discrètement par-dessus le comptoir pour voir les ingrédients qu'il utilisait pour les pizzas. Trop tard, le jeune homme avait prit les pizzas et sortait. Tanpis, je reviendrais peut-être une autre fois et interrogerait l'homme pour avoir des réponses a mes questions. Je suivis donc le jeune homme dehors, notant par la même occasion que le temps était plus lourd que tout a l'heure.

« Il est bien étrange…bien…pour aller chez moi, il faut passer par la ruelle, ça ira plus vite, mais dépêchons nous, les pizzas vont refroidir. »

Je hochais simplement la tête et le suivait de nouveau dans la ruelle. Nous passions à côté de l'homme que j'avais agressé plus tôt dans la soirée. Je lui jetais un bref coup d'œil pour voir qu'il était toujours inconscient. Peut-être avais-je bu plus de sang que je ne le croyais… Ou bien il avait tellement eu peur que son esprit ne s'en remettait pas encore… Peu importe, si au lever du jour il était toujours là, il y aurait forcement quelqu'un qui le découvrirait ici. Le jour, personne ne craignait les endroits comme celui-ci. Nous sortions donc de la ruelle sans problème. Je regardais les maisons, toutes plus grandes et plus belles que les autres. C'était des gens riches qui vivaient dans le coin. Soit le jeune homme vivait vraiment dans l'une de ses maisons, soit il s'était trompé de chemin. Finalement, il s'arrêta devant l'une d'elle. Je regardais la maison en question.

-C'est ici ? C'est… énorme…

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