Voila les élections pour le 5éme concours d'Erya. Cette fois, il s'agit de poème dont le thème est les vacances (qui ce sont achevée malheureusement). Le poème doit contenir une allusion à cette période. On doit donc trouver dans les poèmes un mot tel que été, plage, soleil... Vous pouvez voter pour un ou deux participants au maximum. Pour les participants, interdiction de voter pour sois.
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Sous le soleil de l'été
Sous le soleil de l'été
Embelli mes journées
Sur la plage couché
Laisse mes pensées vagabonder
Sous le soleil de l'été
Je penserai à toi mon bien aimé
Je ferrai encore ce rêve émerveillé
Ou dans tes bras emportée
Au soleil de l'été
Tes caresses tes baisers
A jamais enfermés
Dans mon coeur en secretAkumaTant d'éclats de rire
Tant de larmes versées
Tant de "tu me manques" prononcés
Me voila qui soupire
Loin de moi, loin de vous
Loin de toi, loin de tout
Seule, perdue quelque part
Je ne veux plus penser a nos "au revoir"
Un passé qui est mien
Un présent qui n'est rien
Je voudrais recommencer une fois
Oublier ces tourments, ces "je pense a toi"
J'aurais voulu te dire tant de choses encore
J'aurais voulu te confier tout ce que tu ignores
Les facettes cachées de mon coeur déchiré
Ces confessions que jamais, je ne te ferais...
"L'été est la saison des amours
Et amour dure toujours"
Tu m'as écrit cette lettre
Il y a trois mois peut être
Alors pourquoi
Pourquoi le Destin s'acharne contre moi?
Pourquoi as tu sauté
En ce début d'été
De ce pont si élevé
Se trouvant sous mes pieds?
Je me suis suicidée
Deux corps enlacés
Ils étaient bien cachés
Une bague retrouvée
Dans ton manteau oublié
Deux fiancés
Pour toujours liés
C'est l'été,
Ma saison préférée...
Sia
Quelque chose ensanglantée
S'annoncea cet été
Un humain voulu régler
Ce problème méfié
Il fut hier soir assassiné
Embarquant souvenirs dédaignés
Et pensées atrophiées
A la plage il fut embarqué
Comme une mer** il fut enterré
Il fut trouvé, par un gamin amusé
Construisant des châteaux sablifiés
Ce meurtre d'une chaleur intensifiée
Au cimetière il fut amené
Des pleurs coulés
De la haine envers le meurtrier
Cet enquête fut fermée
Après des années a chercher
Sans aucun succès ...
KyoL’été
Cette saison éphémère,
Au quelle on donnerait tout pour quelle reste
Jamais ne nous écoute et part avec le vent de l’automne.
Le soleil était bien haut
Dans l'ombre des tilleuls,
Jacassaient les oiseaux
Au bord des lourdes feuilles.
On entendait les rires
De ces enfants joyeux
Que l'on voyait partir
Pieds nus sur la mer bleue.
Le vent chaud de l'été
Annonçait le mistral
A chaque pas des avancés
Brûlant à nous faire mal.
Des horizons brumeux
Au large, des voiliers
Traversaient silencieux,
La belle île dorée,
Et sur les clapotis
Aux vagues caressantes
Je berçais mes envies
A tes lèvres rougeoyante...
Je voudrai que jamais l’été ne s’arrête…
Aria
Les voici revenus, les jours que vous aimez,
Les longs jours bleus et clairs sous des cieux sans nuage.
La vallée est en fleur, et les bois embaumés
Ouvrent sur les gazons leur ombrage.
Tandis que le soleil, roi du splendide été,
Verse tranquillement sa clarté,
Et là, nos longs regards perdus au bord des cieux,
Allant des prés fleuris dans l’été spacieux,
S’en va disant partout devant ta clarté blonde :
« Combien tous les bons cœurs sont heureux d’être au monde ! »
La fin des cours a sonné,
D'ici on peut entendre les cris des élèves enchantés.
C'est enfin les vacances
Qui ont été attendues avec impatience !
Tous espèrent le beau temps
Pour pouvoir se baigner souvent
Que ce soit la mer agitée,
Ou bien la piscine chauffée.
C'est les vacances !
Ces journées qui ont tant d'importance
Aux yeux des gens.
Sont enfin arrivées maintenant.
Naru NarusegawaTache d’encre
Il était un temps de peur et de malheurs.
C’était un monde vidé de toute sa douceur ;
Ne restaient que mésententes et superstitions
Qui ne laissaient place qu’à la douleur.
S’il nous arrivait d’apercevoir des oiseaux,
La forêt était dépourvue d’animaux
Et les champs parsemés de corbeaux.
Étaient commis crimes et infidélités
Et jamais personne pour les effacer.
L’espoir était déjà parti à l’horizon,
Laissant le monde dans la colère et la misère,
Toujours, meurtres, sanglots et révolutions,
Mais jamais, un rayon de soleil jaillissant comme un éclair.
Avec les autres, tristesse était apparue,
Car il n’y avait plus personne dans la rue.
Tous rentrés chez eux pour veiller sur leurs défunts
Partis pour quelque endroit lointain.
Gaël