Alors voila, moi, Vlad Droka, j'ai creer une histoire, ça fait pas mal de temps. Et j'ai décidé, avec l'accord de cousine, Ichi, de publier mon histoire en plusieurs parties, comme un RP que je fais tout seul xP. Bah voilà xD





Je gisais sur le sol, le sang glacé par la froideur du mont Vandreïga, tachant mon vêtement en soie, offert par Horlisle.
Je ne distinguais plus la neige du ciel et tout me parut se confondre. Horlisle Hood me regardait de ses yeux ternes et me passa la main sur la tête puis sur le cœur et une lumière intense jaillit de sa main pâle. Les couleurs ne me revenant pas, je ne comprit pas vraiment la teinture de cette aura qui m’entourait entièrement. Mais je pense que c’était du blanc. Après quelques minutes passées entre la vie et la mort, entre le feu et la glace, entre le bien et le mal, mon esprit me revint, à mon grand soulagement. Mais, quand je me réveillai, je ne vis personne autour de moi. Personne, à part un petit chat noir…
Mon nom est Max Taylor et je vais vous narrer ma vie si étrange…

*
* *

Je vis dans le nord des Etats-Unis, à Seattle. J’y vis avec ma mère et mes deux frères, Brian et Rush – mon père ayant disparu depuis longtemps et ma mère, évidemment, ne veut pas m’en révéler la cause. Brian, mon grand frère, a vingt-trois ans. Il vit aussi a Seattle mais à au moins deux ou trois maisons de la notre – il n’habite plus avec nous depuis quelques temps. Rush, lui, c’est mon petit frère. Il est âgé de quinze ans – moi j’ai un ans de plus que lui. Brian et Rush se ressemblent étrangement, si ce n’est leur taille et leur âge. Brian fait environ 1m90 et Rush 1m60. Sinon, ils ont les cheveux d’un noir encre, les yeux châtain clair. Moi, je suis totalement différent : je suis blond, cheveux coupés courts en coupe brosse comme mes frères et des yeux d’un doré « éblouissant » dit-on. Nous allons, moi et Rush au lycée Frankfort – Brian n’ayant plus l’âge adéquat. A ce sujet, Brian avait décroché un travail dans l’armée à l’âge de seize ans. Après ses nombreux services rendus, il rentra chez lui, dans sa belle maison à l’âge de 20 ans et décrocha une bourse pour l’école de police. Quand il eut son travail récemment, à 23 ans. Il fut aussi passionné de voiture à forte vitesse et courut aussi dans les circuit au alentour de la ville. J’enviais quelque peu car, quand on voyait d’un bon œil, sa vie ressemblait presque à un conte de fée sans princesse.
Avec Rush, ce n’était pas la même chose ; lui était encore petit pour moi. Mais, quand il aura atteint mon âge, il aura, lui aussi sa propre voiture. Et il mènera une ville plus développée. Il aime bien la technologie, ç’est bien sûr. En tout cas, nos journées sont toutes identiques et impassibles.
Tous les jours, nous nous levions, prenions notre petit-déjeuner en compagnie de maman. Elle aussi est blonde et ses yeux sont d’un doré encore plus brillants. Après nous être préparés, Rush et moi - puisque Brian n’habitait plus la maison. Celle-ci est composée d’une cuisine, d’un salon et de quatre chambres comportant chacune une salle de bain perso- allions au lycée dans ma Pontiac GTO et passions une journée tout à fait normale…
… Jusqu’à ce beau jour ou tout commença.

Sympas pour un début. Vite l'intrigue >w<

mici cousine ^//^. bon voila la suite alors ^^



Je me réveillai alors qu’il faisait beau, ce qui me donna le courage de me lever. J’enfilai ma veste et j’allai réveiller mon frère qui dormait à poing fermé. Je vis qu’il ne se levait pas, malgré mes appels. Alors, passant tout près de lui, je murmurai : « réveille-toi, petit frère » en lui ébouriffant les cheveux. Il eut un petit réflexe que j’aimais bien : il ronronna et ouvrit doucement les yeux. Il me scruta et se redressa. Il me fit signe qu’il n’y avait pas de crainte qu’il se rendorme et je sortis calmement. Je retournai pour, cette fois-ci, faire des œufs au plat avec une portion de bacon sauté puis, quand ce fut fait, je partis réveiller Rosie – c’est le nom de maman.
- Maman, susurrai-je d’une voix que j’espérait douce et calme. Il est l’heure de se lever. J’ai préparé des œufs au plat et du bacon… Maman, répétai-je, voyant qu’elle ne se réveillait toujours pas.
Je pris la bouteille d’eau fraîche et la posa sur son bras nu.
Tout à coup, elle se leva et enfila ses pantoufles, l’air affolé avec un petit cri.
-Ne me refais plus jamais une telle frayeur, Max.
Je me bornai à sourire en l’emmenant dans la cuisine où Rush dévorait déjà son œuf. Je me dépêchai de prendre mon premier repas de la journée et pressai mon jeune frère pour qu’il monte dans la voiture.
Aujourd’hui, je décidai de ne pas conduire trop vite car la route glissait énormément.
Finalement, ça nous a valu un retard soigneusement récompensé par une heure de colle. Je courai de tout mon possible pour arriver, enfin, au cours de sciences nat. Le prof, Mr. Neverstone, m’a assigné une place devant lui à côté d’un garçon qui, l’espace d’une seconde, me parut d’une lueur blanc éclatant. Mais bon, je ne m’y attardai pas. Il était brun aux yeux verts. Ses cheveux lui tombaient dans le dos et son visage était d’un blanc des alpes. Il me regarda puis, en un quart de seconde, il s’était retourné pour continuer ses activités.
Je travaillai sur ma feuille sans pouvoir m’empêcher de voir son reflet couleur argent.
-Pourquoi me regardes-tu de cette manière ? finit-il par me demander.
-Oh… Je… Je veux dire…, bredouillai-je d’un ton mal assuré. Je… Comment se fait-il que tu ais un teint argenté ?!
Il ouvrit la bouche comme pour répliquer mais il n’en eut pas le temps car la cloche retentit et il sortit d’un pas pressé.
Toujours aussi sceptique, je retournai dans la cour pour vaquer à mes prochaines matières.
La matinée se passa tranquillement.
Il était midi passé de douze minutes lorsque j’entrai dans le réfectoire, un grand bâtiment à deux. Je pris mon plateau et allai m’asseoir à une table près de la porte car le repas étant brûlant, l’air frais permettrait de refroidir le plat.
-Bonjours, euh… Max, c’est ça ? Pouvons-nous se joindre à toi, ma sœur et moi ?
Je me retournai, surpris et découvris le garçon qui était assis à côté de moi en sciences.
-Euh… Ben… Pas de problème. Vas-y, affirmai-je avec un petit sourire forcé.
Pendant qu’ils s’asseyaient, je les observais comme pour identifier d’un seul coup d’œil.
Ils avaient l’air sympathiques. La fille ressemblait beaucoup à son frère -avec le même teint argent – si ce n’est ses yeux encore plus brillant que ceux de son frère et des cheveux plus longs, jusqu’au bassin.
-Alors, toi, tu es bien Max, fit le garçon
-Oui, répondis-je automatiquement. Mais, en revanche, je ne connais pas ton nom.
Oh, excuse-moi, prononça-t-il, gêné. Moi, c’est Fenrir. Fenrir Smith. Et elle, c’est ma sœur, Alicia Smith.
Nous continuâmes à échanger quelques paroles puis, nous allâmes en cours d’anglais. Mme Falls parlait, comme à son habitude, lentement, ce qui eut pour don de m’endormir profondément.
Quand, enfin, nous eûmes fini la journée de cours, Rush et moi rentrâmes dans ma Pontiac.
-Alors, ta journée, commença Rush en rompant le silence.
-Ouais, ça peut aller. Tu sais, j’ai rencontré Fenrir Smith, un garçon bien. Et sa sœur, Alicia, charmante.
Un sourire se dessina sur les lèvres de Rush.
-Tu es amoureux ! cria-t-il, risquant fort de casser les vitres avec sa voix aiguë.
-Chut ! Je conduis ! Tu vas me déconcentrer ! Et non ! Je ne suis pas amoureux.
Jusqu’à la maison, il resta tranquille. Cependant, je guettait le moindre de ses faits et gestes, m’assurant qu’il ne se moquait pas comme à son habitude.
-Le repas est prêt, vous mangerez à sept heures, répliqua maman tandis que j’entrais et déballais mes affaires.
Elle avait l’air nerveuse.
-Où vas-tu ? lui demandais-je.
-Je… Euh… Je dois, balbutia-t-elle, gênée. J’ai une urgence. N’oubliez pas de manger à sept heures.
Sur ce, elle claqua la porte derrière elle.
-Chouette, s’exclama Rush. Je vais pouvoir jouer à l’ordinateur !
Et il courut dans le couloir, sauta les quelques marches et ouvrit sa porte à la volée. « Attends, non, tu n’as pas le droit ! » avais-je beau crier. Soudain, on cogna fortement à la porte. Je fus surpris et apeuré. Reprenant conscience, j’allai ouvrir

a mort le double post!!!
apres toi, continue XD

okkkayy mici beaucoup xP Maintenant la suite



J’ouvris tout d’abord le tiroir de la cuisine et en sortis un rouleau à pâtisserie. Je regardais par la fenêtre de la pièce donnant sur la cour. Il y avait là un homme. Je ne le voyais pas de face mais, tout ce que je pus en dire, c’était qu’il était très grand. « Bon, pas de panique. Il n’y a rien à craindre », me mentis-je. Il cognait de plus en plus fort. Lentement, j’enlevai les verrous puis plus rapidement j’ouvris et fracassai mon rouleau sur lui… enfin, c’est ce que je crus, l’espace d’un instant. Il avait réussi à attraper mon « arme » à l’aide d’une seule main.
- Enchanté, fit-il d’une voix glaciale. Où est ta mère ?
Il avait craché ce dernier mot comme avec mépris.
- Je…Je ne…, réussis-je à bredouiller.
- Cela ne vous regarde en aucune manière.
Rush, un sourire triomphal aux lèvres, descendait les escaliers d’un pas majestueux et vînt se placer à mes côtés.
-Tu as bien faillis me faire flancher, répondit le géant. Tu es le digne fils de ton père.
-Vous connaissez notre père ! s’étonna Rush.
-Eh bien, oui. Mais, peut-être que si vous me laisser entrer, je pourrais vous conter ce que je sais de votre père et aussi ce que je viens faire ici.
Sans hésiter, je lui ouvris la porte en grand et il entra, non sans faire un vacarme impossible avec ses pieds.
Je remarquai aussitôt qu’il ne portait pas d’arme sur lui et mon cœur s’apaisa. La lumière révéla sa peau sombre et un genre d’aura noire mystérieuse autour de lui. << Comme Fenrir >>, ne pus-je m’empêcher de penser. Ses yeux étaient couleur sombre et ses cheveux, en une unique et longue tresse derrière son dos, tombaient dans son dos.
Nous nous assîmes dans le canapé et, là, il débuta.

-Pour dire vrai, je suis venu vérifier certaines choses, déclara-t-il. Je voulais aussi m’entretenir avec votre mère. Mais, à ce que je vois, elle est absente. Et en ce qui concerne votre père, je l’ai connu très jeune, quand nous allions à l’école, puis quand nous avons commencé l’université et aussi peu avant sa disparition…
Il avait l’air triste. Ses iris tremblotaient légèrement. Puis, il se leva, nous salua et s’en alla s’en refermer la porte.
-T’as compris ce qu’il voulait, toi, me demanda Rush en rompant le silence.
Je hochai la tête en signe de négation. La soirée se déroula ensuite bien jusqu’à ce que je m’endorme, enfin, vers les neuf heures du soir.

C'est super :love:


A quand la suite :?:

oh merci vous etes gentil bon je continue.



Je courais, courais de toutes mes forces, jusqu’à épuisement. Je m’appliquai à échapper à cette bête qui me suivait.
J’étais dans la cour de la maison quand j’aperçus Greyback Holmes, de l’autre côté de la rue. A mon avis, il me saluait mais, très vite, je compris que c’était tout le contraire : il me faisait signe de partir :
-Vas-t-en, Max, dépêche-toi ! cria-t-il d’un ton sévère.
Piqué au vif par son manque total de courtoisie, je fis une moue contrariée et sévère, comme la voie dont il avait fait usage pour me parler. J’allais lui reprocher son impolitesse quand, soudain, il se débattit tout seul puis, avec un hurlement qui m’emplis d’effroi, il tomba face contre terre. Puis en m’espace d’une seconde, ses mains et ses pieds s’allongèrent, laissant découvrir des griffes longues d’au moins vingt centimètres. Ses vêtements, maintenant devenus trop courts, se déchirèrent d’un seul coup, sa poitrine et son ventre couverts tout deux d’un pelage noirs brun à vue d’œil. En se relevant, il m’adressa un sourire malveillant rempli de méchanceté. Ses dents aiguisées faisant à peu près trois centimètres de plus qu’au dents normales, je dirais.
-Toi ! rugit-t-il en me dévisageant, perdant soudain son sourire malfaisant, me montrant maintenant sa fureur.
Je n’eus pas envie de parler mais j’eus plutôt envie de m’échapper. C’est bien sûr ce que je fis sans hésiter. J’allai, errai dans la forêt ne trouvant plus la sortie. Quand je fus fatigué, je m’arrêtai, il faisait toujours nuit. Et puis, soudain, le loup surgit de la pénombre et bondit sur moi, non sans hurler comme le faisaient ses congénères.
C’est à ce moment que je me réveillai, le front trempé de sueur. Ouf : ce n’était qu’un rêve. Mais, j’y pensais : peut-être avais-je vu le futur, ce qu’il va arriver ? Et si Greyback était un loup-garou ? Et s’il voulait me dévorer ? Ces questions me tournèrent dans la tête - même si je trouvais le fait de croire quelqu’un loup-garou me semblait complètement improbable et impensable- jusqu’à quatre heures et quart, heure à laquelle je n’arrivai plus à me rendormir.

C'est bien mais flippant :o

Bah c'est fait exprès^^ bon la suite a présent.



Quand je fus réveillé - à quatre heures et demi du matin- maman était déjà partie travailler- elle est femme d’affaire, donc, naturellement, elle n’est presque jamais là. J’enfilai mes vêtements et pris mon petit-déjeuner. Puis, en attendant l’heure de réveiller Rush, j’allai sur l’ordinateur. Puis, quand il eut fini de se lever et de manger ses œufs au bacon et de s’habiller, nous allâmes au lycée. Et toute la semaine passa exactement pareil : normale.
Samedi, alors que je faisais mes devoirs pour la semaine prochaine, le téléphone sonna.
-Allô, répondis-je en décrochant le combiné.
-Allô, Max ? fit une voix qui me semblait familière. C’est ton frangin, Brian !
Evidemment que je connaissais cette voix. C’était celle de mon frère.
-Tu peux venir avec Rush chez moi, me dit-il avant même que j’eus le temps de parler. Nous irons nous promener. Et puis, ajouta-t-il, tellement bas que j’eus presque du mal à le comprendre, j’ai à te parler. A tout de suite.
Puis, sans prendre la peine de me dire au revoir, il raccrocha. Comme persuader que je viendrais. Tous de suite ? Il avait l’air sérieux. Comme il n’habitait pas loin, je pouvais me déplacer sans trop de problème.
Enfilant un pantalon noir et une chemise rouge dissimulée sous une veste noire, je commençais à fermer les volets.
-Où tu vas, me lança Rush en se mettant entre la dernière fenêtre restante et moi.
-Je vais chez Brian et toi tu viens avec moi.
Un large sourire de bonheur se dessina sur ses lèvres sur son visage.
Le temps de fermer la porte à clé, Rush montait déjà dans la voiture.
Ca faisait longtemps que nous n’avions plus revus Brian. Depuis les quinze ans de ce dernier. A l’époque, Rush avait sept ans et moi huit. Brian était parti de la maison à cause de ses questions au sujet de papa – Brian pensait que papa n’est pas mort accidentellement ; qu’il n’était pas mort du tout. Maman lui cachait la vérité. Alors, sans perdre son temps, il partit de chez nous pour habiter un peu plus loin.
Mettant le contact, j’ordonnai à Rush d’attacher sa ceinture. Puis, quand nous arrivâmes, Brian nous attendait devant sa maison et, avec un sourire il nous dévisagea. J’en croyais pas mes yeux : il avait encore grandi ! Il devait sûrement atteindre les deux mètres. Ses cheveux en brosse étaient en bataille. Il nous fit un signe plein d’encouragement. Je me garai derrière sa voiture : c’était une jolie Carrera Gt couleur rouge éclatant, s’alliant bien avec ma Pontiac noire. Nous avions eu nos voitures en cadeau avec maman, juste après que Brian ait trouvé un travail. Moi, ayant l’âge de prendre le volant, j’avais eu cette belle voiture noire que je gardais désormais précieusement.
Quand nous descendîmes de voiture, Rush courut vers Brian et l’enlaça fortement, tellement fortement qu’il faillit l’étouffer.
-Content de te revoir, Brian, fit Rush, les larmes aux yeux.
-Le plaisir est partagé, répondit l’aîné en se contentant de sourire.
Peu après, nous entrâmes dans sa demeure, si je puis le dire comme ça. Un long couloir central menait vers différentes pièces. Première salle à gauche, une mignonne petite cuisine se tenait là, Elle était à carreaux verts et blancs.
Nous avançâmes jusqu’au bout du couloir je remarquai au passage que les autres pièces du rez-de-chaussée étaient toutes des chambres à coucher. Nous débouchâmes dans l’une d’elles pour en voir le contenu. C’était époustouflant : un grand lit double trônait au milieu de chaque chambre et des rideaux dorés ornaient les fenêtres ; une couette en soie rouge sang avec des motifs oranges recouvraient le lit. Des meubles en bois d’osier étaient disposés un peu partout dans la pièce, sans pour autant en déranger l’ordre.
Le parquet était scintillant avec sa couleur jaune pâle. J’en fus tellement émerveillé que j’en oubliai presque de respirer.
Après nous en être totalement imprégné, nous montâmes les escaliers et bifurquâmes dans un couloir plutôt sombre mais assez vaste. Brian nous conduisit dans sa propre chambre. En parlant de « propre », c’était dans les deux sens du terme ; elle était d’une netteté incroyable. Contrairement aux autres pièces, celle-ci était couleur argenté avec des rideaux bleus ciel éclatant. Le sol était fait de carrelage à peu près grisâtre et un lit blanc pur contenant deux beaux oreillers dorés se tenait au fond, donnant l’impression d’une clarté impressionnante. Un bureau au bois sombre était entreposé près du lit. Cette table boisée supportait un ordinateur portable noir chromé et une maquette de voiture de sport. J’en fus époustouflé. Puis, enfin, nous allâmes dans la dernière salle restante : C’était un salon privé. Il était rouge et jaune, orné de motifs floraux. C’était, tout bonnement merveilleux. Un grand canapé rouge pourpre trônait au milieu de la pièce. Comparée aux autres, cette salle n’était éclairé que par des néons – Des volets électriques étant fermés, le soleil n’y avait pas accès.
-Rush, fit soudainement Brian, rompant le silence. N’as-tu pas envie d’aller faire un tour dans le jardin ?
-Volontiers, se contenta-t-il de dire, mais, en plus, je veux jouer à l’ordinateur.
Brian acquiesça avec un petit sourire complice.
-Vas-y, répondit-il, presque en riant.
Sans se retourner, il dévala les escaliers.