Alors que j'allais entamer mon onzième mois sans avoir mit le nez dehors, j'abandonna mes recherches. Je n'avancai a rien. J'étais au même points depuis tout ce temps. Je n'avais plus pris le temps ni de manger ni de dormir. L'odeur des produits pharmacotiques bourdonnaient dans mon bureau alors que je me reveillai doucement la joue droite coller au dernier bouquin sur les maladies Orpheline que j'avais denicher. Le regard tourner vers la fenetre, je pu distinguer la silhouette de mon jardin maudit où les plantent avaient eu le temps de pousser n'importe comment, se dessiner sur mes rideaux épais.

Redressant ma tête lourde du bureau, je me motiva a laisser de coté toute ses paperasses et de m'engouffrer dans la première salle d'eau que je trouva pour me remettre d'aplombs. En quelques longues demi – heures , je me retrouva enfin dans mon salon, encore semi mouiller, mes cheveux long et rouge degoullinant le long de mon dos, que je prit le soin d'attacher avant qu'il ne sèche alors que je pu constater dans le reflet de la télévision la maigreur dont je m'étais habiller.

Je tira sur mes pomettes afin de reprendre bonne mine, enfila un simple T-shirt et un vieux pantalon qui je fit tenir a l'aide d'une ceinture usée noir, prit ma saccoche ainsi que ma paire de lunette que je posa sur le bout de mon nez avant de sortir dehors. Les ronces avaient devorer l'allée et il me fallut tout enjambé pour arriver au portail que je du escalader avec dificulter.

J'entama une longue randonner jusqu'à la ville la plus proche. J'habitais toujours dans le fin fond de la foret a l'abris des autres, personne n'aimaient vraiment les vampires, gentil ou non. Medecin ou pas. Alors il était preferable d'avoir un endroit ou se cacher, juste au cas ou. A la sortie des arbres, le soleil m'irita les yeux avant que je m'y adapte et la chaleur me cuit un peu la peau bien qu'il ne faisait pas encore chaud.

La foule me donnait le tournis, et mon regard ne savais pas ou se poser, jusqu'à ce que je m'éclipse dans une ruelle ou j'apercu un petit bar, que personne ne venait embeter. Juste quelques fumeur et quelques solitaire. Pile ce qu'il me fallait pour reprendre ma vie sociale. La dernière fois que j'étais sortie, moi qui connaissait tout le monde bien avant n'avait que fait rencontrer de nouveau visage. Et il était presque sur que ce nouveau retour allait être pire que le dernier.

Une fois la porte passer, je fit un tour des visages qui ce trouvait dans ce lieux, et seul quelques un me dire vaguement quelques choses, dont le barman. Je me dirigea m'assoir et avant meme que je n'ouvre la bouche il me servit une limonade – grenadine en échange d'un peu de monnaie.