Au métier qu'il connaît, que chacun se consacre ! [PV: PNJ Ludmila]

La longue allée piétonne, bain de foule, rayon du soleil aveuglant, doux fumée des restaurants et autres stands de nourriture et la cohue habituel d'une rue marchande. Soixante en ce frais matin d'octobre se baladait dans Elipce, c'était la deuxième fois qu'elle venait ici. Et ses deuxième images de ce lieux en furent positive, les sons beaucoup moins, Soixante trouvait qu'il y avait bien trop de monde aujourd'hui. Peut-être aurait-elle dû venir un autre jour ? Non c'était maintenant qu'elle voulait prendre l'air et visiter de nouveau lieux.
Soixante n'était jamais venue sur l'île principale, pourtant cela faisait bien longtemps maintenant qu'elle vivait dans cet archipel. Depuis son entrée dans le monde des tueurs à gage, cela devait faire plus ou moins quatre-vingt ans … Le temps passe quand même rapidement. Soixante un grand bol d'air frais. Elipce était proche d'un fleuve ce qui donnait à l'air, une petite senteur aqueuse, voir salé, à cause surement de l'océan qui n'est pas loi non plus. Cela changeait un peu.
Aujourd'hui Soixante n'était pas en mission, elle venait ici pour se détendre. La dernière mission lui avait donné beaucoup de fil à retordre, ce qui l'avait complètement déprimé. C'est pourquoi elle se trouvait ici en ce moment. Essayant de s'aérer l'esprit avant de prochaine mission.
Soixante s'arrêta d'un coup, stoppant ainsi les gens qui avançait derrière elle. Ceci grommelèrent avant de la contourner sans bruit. La brune en eu un petit sourire au coin des lèvres, c'était si simple d'embêter les personnes ! Elle regarda en l'air, le soleil brillait sous ce ciel matinal, il faisait beau. Soixante sourit avant de se remettre en route, bousculant au passage une personne qui était en train de la doubler, celle-ci grommela avant de continuer derrière Soixante. Il y avait vraiment trop de monde ici.
Soixante regarda à gauche, contre les magasins, il n'y avait personne, ou du moins peu de personne, en tout cas beaucoup moins qu'au milieu. La brune se dirigea donc vers les magasins, coupant le chemin à de nombreuses personnes mécontentes. Pourquoi les gens étaient si aigre dans une foule ? Arrivée contre le mur d'un bâtiment, Soixante s'y colla et regarda la foule qui avançait péniblement dans la rue. Elle regarda à gauche et à droite, à l'horizon, une foule de gens quel que soit le côté. Soixante en soupira avant de reprendre son chemin. A la lisière entre les magasins et la foule, Soixante n'avait pas beaucoup d'espace mais elle réussissait à avancer plutôt rapidement. Elle ne savait pas vraiment où elle allait. Mais elle suivait le troupeau humain comme un petit mouton suit le troupeau de mouton.
A un carrefour, elle prit sur la gauche, longeant ainsi les magasins et évitant de traverser cette foule monstrueuse. Elle passa devant plusieurs magasins, avant d'entendre derrière elle, le son d'une petite clochette de porte de magasin et une douce voix qui l’appelait dans un jargon étranger. Soixante reconnu son propriétaire tout de suite. Elle se retourna le sourire aux lèvres.

-Шестьдесят !
Soixante !

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Au métier qu'il connaît, que chacun se consacre ! [PV: PNJ Ludmila] 1139513017

Ludmila travaillait ce matin là dans l'armurerie. Cela ne faisait pas longtemps qu'elle était venue habiter sur Erya Island. En faite depuis la mort du grand patron, sans métier elle avait dû se recycler. C'était comme ça qu'elle était devenue vendeuse à l'armurerie.
Dehors on entendait les bruits de foules qui parlaient bruyamment. Ludmila était entrain de placer une nouvelle affiche sur la vitrine du magasin, quand elle crut voir une silhouette fort familière. Choquée, elle sortit aussitôt du magasin et regarda à sa gauche, l'être si familier qui venait de passer. Ludmila ne pensait absolument pas la trouvait ici, elle qui n'avait jamais quitté son refuge Est que venait-elle faire ici ? C'est alors que Ludmila éleva la voix et cria le prénom de la jeune fille dans sa langue maternelle. Elle savait qu'elle comprendrait, son ami était polyglotte.
Et effectivement, à peine le nom criai, la jeune fille brune se retourna et vit Ludmila. Elle sembla d'abord surprise mais très vite un petit sourire à elle, se dessina sur ses lèvres. Elle avait l'air content de la voir. Ludmila s'approcha d'elle.

- Шестьдесят ! Как поживаете ? Что вы делаете здесь ? Это - первое время, когда вы прибываете к Elipce. Нет ?!
Soixante ! Comment vas tu ? Qu'est ce que tu fais ici ? C'est la première fois que tu viens à Elipce. Non ?!

C'était tout de même bien pratique de parler russe. Comme ça personne ne pouvait comprendre ce qu'elles disaient. Elles pouvaient donc parler tranquillement sans se faire surprendre. Cela avait d'ailleurs souvent marcher en mission.
Ludmila était tellement contente de revoir son ex coéquipière, elle ne l'avait pas vue depuis que le groupe de tueur à gage c'était dissout après la mort du grand patron. Malgré son caractère plutôt spéciale, Ludmila aimé bien Soixante. Elles se connaissaient depuis que Ludmila était entrée dans le groupe en 1934, le chef avait alors chargé Soixante de s'occuper de cette nouvelle recrue, un peu trop turbulente. Ces nouveaux pouvoirs de loup-garou ne c'était pas encore bien stabilisé. Et la petit Ludmila devenait bien dangereuse, Soixante en avait d'ailleurs était mordue plusieurs fois, mais elle ne pouvait pas se transformer à cause de son corps qui n'était pas le sien enfaite. Son aura magique était bien trop puissante contre le venin du loup-garou. C'était ainsi que les deux tueuse à gage c'était rencontré et avait travaillé ensemble pendant 77 ans.

Après avoir crié son nom, la jeune russe s'approcha de Soixante, sourire aux lèvres. Elle semblait contente de la retrouver. La jeune brune aussi, mais de nature bien moins émotive, elle ne le montrait. Soixante-douze ne se fâchât pas, elle connaissait maintenant très bien son ex-coéquipière !

- Шестьдесят ! Как поживаете ? Что вы делаете здесь ? Это - первое время, когда вы прибываете к Elipce. Нет ?!
Soixante ! Comment vas tu ? Qu'est ce que tu fais ici ? C'est la première fois que tu viens à Elipce. Non ?!

- Довольно действительно и вы Семьдесят два ? Это - в второй раз, когда я прибываю сюда, это не плохо, но вы делаете что вы на Острове Erya ? Это не было ваш сектор после падения однако.
Plutôt bien et toi Soixante-douze ? C'est la deuxième fois que je viens ici, ce n'est pas mal mais toi qu'est-ce que tu fais sur Erya Island ? Ce n'était pas ton secteur après la chute pourtant .

La petite lycan sourit alors montrant ses dents plutôt pointue pour quelqu'un de normal. Mais Soixante savait très bien que Soixante-douze était un loup-garou, elle connaissait quelques peu son histoire. Elle l'avait connue peu de temps après sa transformation non accidentelle. Comme Soixante, Soixante-douze avait été enrôlé de force dans la bande de tueur à gage russe. Sauf que Soixante-douze n'avait pas quitté son pays qu'elle tenait tant. D'ailleurs cela surprenait vraiment Soixante de trouver cette pur communiste ici. Cette loup-garou ne voulait jamais quitté son pays lors des missions, malheureusement elle était obligé. Alors pourquoi était-elle sur Erya Island ? C'était bien trop loin de son pays natal ?

- Вы однако охраняли СССР, в то время как вы хотите его. Почему вы уехали?
Tu avais pourtant gardé l'URSS, comme tu le voulais. Pourquoi tu es parti ?

Soixante-douze regarda aux alentour, cherchant du regard quelques choses. Soixante ne compris pas quoi et fit de même pour voir ce que cherchait Soixante-douze. Le loup-garou s'arrêta, fixa derrière Soixante puis la brune. Soixante regarda faire son ami, elle ne comprenait pas vraiment cette habitude. Puis Soixante-douze lui demanda de la suivre. Soixante s'exécuta. La jeune fille, l'amena vers la magasin d'où elle venait. En entrant, Soixante lut la pancarte, c'était une armurerie.
Soixante-douze la conduisit jusqu'à l'arrière boutique, elle passa un tabouret à Soixante et s'assit sur un autre en face. Elle dit alors qu'elles seraient plus tranquille ici. Soixante ne comprenait toujours pas, pourquoi Soixante-douze tenait tant à ce qu'on ne les voient pas ? Elle réfléchit avant de dire:

-Кто идет не? Почему вы скрываетесь аналогично?
Qu'est ce qui va pas ? Pourquoi tu te caches comme ça ?

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- Довольно действительно и вы Семьдесят два ? Это - в второй раз, когда я прибываю сюда, это не плохо, но вы делаете что вы на Острове Erya ? Это не было ваш сектор после падения однако.
Plutôt bien et toi Soixante-douze ? C'est la deuxième fois que je viens ici, ce n'est pas mal mais toi qu'est-ce que tu fais sur Erya Island ? Ce n'était pas ton secteur après la chute pourtant.
- Вы однако охраняли СССР, в то время как вы хотите его. Почему вы уехали?
Tu avais pourtant gardé l'URSS, comme tu le voulais. Pourquoi tu es parti ?
-Кто идет не? Почему вы скрываетесь аналогично?
Qu'est ce qui va pas ? Pourquoi tu te caches comme ça ?

Soixante n'arrêtait pas de posé des questions, elle n'était pourtant pas quelqu'un de très curieux. Mais apparemment elle ne comprenait pas tout. Et cela Ludmila pensait savoir pourquoi. C'est vraie qu'au départ elle avait été surprise de son choix, mais maintenant elle ne le regrettait plus vraiment.
Après être rentrée tranquillement dans le magasin, les jeunes filles s'assirent sur des tabourets mais c'est après un petit silence que Ludmila commença enfin à répondre à Soixante:

- Я скрываюсь не! Только что это будет лучше здесь. Я чувствую запахи, что это обсуждение собирается быть долго. И затем я так удовлетворен, чтобы видеть снова пересматривать вас! Soixante ne réagi pas, Ludmila continua donc. От вас знают СССР, без коммунизма это не стоит ничто! Страна так изменилась теперь. Жаль. Pause. После смерти босса, я хотел останавливаться арест, я имел это вдоволь посмеются. Я таким образом оставил Россию, которая изменилась хорошо, чтобы прибывать сюда !Puis anticipant la question de Soixante, elle dit: Я знал, что вы были низки там, я таким образом хотел видеть снова пересматривать вас. Pause, Ludmila esquissa un petit rire avant d'ajouter. Мы можем называться нашим реальным именем теперь! Я это - Ludmila и вы?
Je me cache pas ! C'est juste que ce sera mieux ici. Je sens que cette discussion va être longue. Et puis je suis si contente de te revoir ! Off tu sais l'URSS, sans communisme c'est nul ! Le pays a tellement changé maintenant. C'est dommage. Après la mort du patron, j'ai voulu arrêter, j'en avais marre. J'ai donc quitté la Russie qui a bien changé, pour venir ici ! Je savais que tu étais là bas, je voulais donc te revoir. On peut s'appeler par nos vrai prénom maintenant ! Moi c'est Ludmila et toi ?

Soixante marqua une pause en regardant Ludmila, elle sembla réfléchir quelques instant. C'est vrai que Soixante-douze avait un prénom elle, pas Soixante, elle en sembla quelques peu nostalgique. La brune ne se souvenait pas de qui elle était avant de se faire attraper par le groupe du patron. Sa mémoire avait dû être effacée , au réveil elle était Soixante, tueuse à gage professionnel. Elle souleva sa tête, fit une petite moue avant de répondre à Soixante-douze:

-I... Я не помню это ... Вы знаете, что я не имею никакую память подарок о фронте ... Слишком плохо ! Soixante haussa les épaules. С другой стороны я, я продолжил ... Я для моего счета теперь ...
Moi ... Je ne m'en souviens pas ... Tu sais je n'ai aucun souvenir d'avant ... Tant pis ! Par contre moi, j'ai continué ... je suis à mon compte maintenant ...

Dit-elle avec un petit sourire. Soixante-douze ne sembla pas choqué, de plus elle ne s'offusqua pas. Soixante regarda autour d'elle. Les filles étaient dans l'arrière boutique, juste derrière la porte qu'il y avait en face du comptoir et de la caisse. La pièce n'était pas très grande et il n'y avait que peu d'espace à cause des nombreuses étagères. Soixante les scruta, il y avait dessus énormément d'armes à feu. Mais aussi des armes blanches. Le regard de Soixante se posa sur un beau katanas noir. Le fourreau était en bois, gravé de minuscules arabesques abstraites doré, le manche blanc était recouvert de long bandages noir finement pliés, le bout en argent surement et était gravé lui aussi de nombreuses arabesques d'un gris plus foncé. Il y avait deux petites statuettes en formes de dragon doré pour bien caler les mains sur le manche. Ludmila remarqua alors que le regarde de Soixante c'était posé sur quelques choses, elle se retourna et vit le katana, elle sourit, se leva et pris le katana qu'elle rapporta devant Soixante. Elle s'assit sur le tabouret et lui tendit la magnifique lame. Soixante le saisit de ses deux mains. Elle observa avec goût les gravures, passant ses doigts le long des arabesques, elle admira le manche, ses gravures et ses ciselées. Puis elle saisit de sa main droite la manche de l'autre le fourreau et dégaina la lame de sa protection. C'était une 440 S STEEL, gravée d'un dragon tenant une orbe. La lame devait mesuré bien 73 cm, qu'en au poids il ne devait pas détaché le kilo. Soixante parcourut du regard la lame, ce devait être de l'acier. La jeune brune était féru des katanas, c'était une arme blanche qu'elle idolâtrée vraiment. Même si elle ne les utilisé jamais au combat, Soixante devait posséder plus de 30 lames différentes. Soixante fit pivoter la lame, elle la mit dans l'axe de son œil pour voir l'affutage … il était vraiment très fin. Soixante-douze prononça alors quelques paroles avec le sourire.

-Лезвие: сталь 1045, Тот же самый: кожа линии луч, закрытой черным хлопком, затемняла сталь Tsuba: и черный lacquered деревянный Saya: Ручной работы. Он это красив - этот шаг ? Soixante hocha la tête. Вы всегда любите так много эти оружие в том какой я вижу. Soixante hocha de nouveau la tête, sans levé les yeux de l'arme japonaise. Вы … вы … используете их … в … миссии там … ?
Lame: acier 1045, Same: peau de raie recouverte de coton noir, Tsuba: en acier noirci et Saya en bois laqué noir. Fait main. Il est beau n'est ce pas ? Tu adores toujours autant ces armes à ce que je vois. Tu ... tu les utilises en ... en ... mission ... ?

Soixante releva alors la tête, elle rangea la lame dans son fourreau et regarda Ludmila, elle semblait un peu perdu. Apparemment la jeune lycan n'aimait pas cette idée que Soixante continue les missions de tueuse à gage. Soixante-douze avait-elle changé à ce point ? Soixante ne comprenait pas pourquoi elle réagissait comme ça. La jeune russe avait tué des personnes pendant plus de 75 ans, pourquoi était-elle si choquée que Soixante continue ?

-Что имеет место ?
Qu'est ce qui se passe ?

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-Ничто … что-либо Dit-elle en se frottant le bras gauche de sa main droite. Ludmila n'était pas à l'aise. Elle releva la tête et vit alors le visage très sceptique de Soixante. Elle n'était vraiment pas bonne actrice. Это – поскольку … Я нахожу, что причудливый, который вы продолжаете, вы не больше обязаны теперь … Я понимаю включает не опечаленный... Почему вы не ищете устойчивую работу и там без опасности ?
Rien … rien. C'est que ... Je trouve ça bizarre que tu continues, ... tu n'es plus obligé maintenant ... Je comprend pas désolé ... Pourquoi tu ne cherches pas un travail stable et en sans danger ?

Ludmila vit alors se redresser son ex coéquipière, se mettant droite sur le tabouret, elle semblait mettre un peu plus de distance entre elles. Ses doigts s'agitaient contre le fourreau du katana qu'elle tenait encore dans ses mains. Soixante ne répondit pas. Cherchait-elle une réponse ? Ou ne comptait-elle pas répondre ? Généralement la jeune brune choisissait la seconde option. Soixante était quelqu'un de très mystérieux, elle ne parlait déjà pas beaucoup mais ne donné quasiment aucune information sur elle. La brune contournait très souvent les questions. Mais cette fois Ludmila voulait savoir. Qu'est ce qui la poussé à continuer ? C'était vraiment trop barbare ! Elle la soutenu du regard comme pour l'inciter à répondre. Soixante ne décrocha pas un mot.
Ludmila fut très déçue, elle se leva la mine grise et prit le katana des mains de Soixante. Elle partit le rangeait sur son portant. Puis elle se posta devant Soixante, plutôt en colère. Elle lui dit d'un ton énervée même si le lycan essayer de le caché:

-Вы жили в после шестьдесяти ! Курс изменения ! Возобновите вас ! Это теперь закончено !
Tu vis dans le passé Soixante ! Change de cap ! Renouvelle toi ! C'est fini maintenant !

-Ludmila …

La lycan se figea sous les mots de Soixante, c'était la première fois qu'elle l'appelait par son vrai prénom: Ludmila. Avant il n'y en avait que pour Soixante-douze son nom de code, son ancien nom sous le groupe russe. Son numéros d'arrivée dans l'équipe, un chiffre n'ayant aucun sens à part celui de là classé avec les autres tueur à gage. Soixante venait de l'appeler par son vrai prénom, celui que ses parents lui avait donné quand elle était toute petite et cela lui fit comme un choc. Elle ne pensait pas que Soixante le prononcerait aussi tôt !

- Ludmila … Я знаю как делать только это ! Как хотят вас, что я изменяю в этих условиях ? Никто не будет хотеть меня ! Pause С тех пор мой наиболее отдаленный, чтобы помнить, я сделал только такового моей жизни !
Ludmila … Je ne sais faire que ça ! Comment veux tu que je change dans ces conditions ? Personne ne voudra de moi ! Depuis mes plus lointain souvenir, je n'ai fait que ça de ma vie !

Me semblait pas comprendre, ou ne semblait pas vouloir comprendre, elle était dans son idée, fixée, emmurée et rien ne pouvait passer. Même pas que Soixante l'appelle par son vrai prénom, pourtant la jeune brune aurait cru que ça lui ferait un choc. Mais la lycan ne broncha pas, statufié sur place. Soixante le regarda un instant fort perplexe, que lui arrivait-il ? Avait-elle dit quelques choses qui n'allait pas ?
Soixante fronça les sourcils, elle commença à se lever quand deux mains l'agrippèrent aux épaules et la forcèrent à rester assise. Soixante reconnue bien là, la force légendaire de Ludmila, ce n'était pas pour rien qu'elle était un loup-garou. La brune resta donc assise muette. Soixante-douze retira ses mains et les laissèrent pendre le long de son corps, comme si de rien était. Soixante ne comprenait vraiment plus rien. Mais elle ne bougea pas, regardant le visage perplexe de son ex-coéquipière. Soixante-douze eut alors un petit rictus, une grimace d'horreur sur un visage d'une adolescente. Ses lèvres laissèrent entrapercevoir ses dents blanches, … anormalement pointue, bien trop pointue même pour sa forme humaine. Soixante regarda attentivement, tout d'un coup ses canines s'allongèrent, les pointes firent plus fines, plus saillantes, plus terrifiantes. Soixante baissa les yeux et vit les mains de Ludmila plus grosse, plus touffu, moins humaines … La jeune brune eut peur de comprendre, son regard s'assombrit alors. La russe était entrain de se transformer malgré ses efforts pour se contenir. L'idée de devoir affronter ce loup enragé comme avant déplut énormément à Soixante. Elle avait déjà donné à ce niveau là !
Mais prit par une frénésie Ludmila se transforma d'un coup, devenant l'un de ces immenses loups gris, effrayant les songes des petits enfants. Mais celui-ci bien plus terrifiant était à deux pas de Soixante. Le loup se mit à grogner avant de rentre les épaules pour jaillir en un saut. Le canidé s'élança mais Soixante habituée se dégagea assez facilement. Ludmila se heurta contre le montant de la porte, elle ne passait plus maintenant et la pièce était bien trop petite pour un combat. La bête grogna, Soixante se demanda si Ludmila était encore en possession de ces moyens, souvent quand elle se transformé, elle perdait le contrôle d'elle même. C'était surement le cas à ce moment là. Le loup s'élança manquant de peu la cuisse. Il fallait se défendre, sinon Soixante était prête pour avoir de nouvelle cicatrice affreuse sur les cuisses, comme si elle en avait déjà pas assez. Le loup chargea de nouveau, Soixante sauta par dessus. La bête dans son élan fracassa le mur qui séparé la petite pièce et la boutique ouverte aux clients. De gros blocs de brique tombèrent dans un grand nuage de poussière.
Ludmila se releva parmi les gravas, elle secoua la tête pour enlever les grains de ciments et de brique prisonnier de son épaisse fourrure. Elle se mit aussitôt à grogner en direction de Soixante. La brune toujours dans la petite salle, s'était dirigé vers son sac pour attraper son MP5A3, chargé bien sûr. Elle le pointait maintenant vers le loup-garou.

-Аванс и я тянем огонь !
Avance et je tire !

Le loup-garou grogna plus fort, montrant ses terribles crocs pointu, ses épaules s'élevèrent, son poil s'hérissa encore plus. Soixante ne voulait pas vraiment tiré sur Ludmila mais elle savait que ces balles ne lui ferait pas grand chose sur certaines parties du corps. Tendu elle ne bougea pas, elle scrutait la bête avec espoir que son ex-coéquipière se calme. Elle voyait le ventre du monstre se soulevait et s'abaissait bruyamment dans un grand souffle de rage. Ludmila était vraiment dangereuse une fois transformait. La russe c'était fait mordre trop jeune, elle n'arrivait pas toujours à contrôler son côté bestiale, bien trop puissant par rapport à son jeune corps.
Soudain le loup avança une patte doucement, voyant que Soixante ne tirait pas, il s'élança alors, gueule grande ouverte ! Soixante visa la patte droite, celle qui allait tomber juste après dans sa foulée. Clac ! Elle appuya sur la gâchette et la balle en acier partit dans le poignet du monstre. Du sang gicla et le loup s'étala sur le sol. Soixante put entendre un petit gémissement avant que la masse de la bête tombe lourdement au sol dans un grand fracas.
La poussière retomba doucement, au sol contre le comptoir à moitié détruit se tenait Ludmila. Elle était allongée sur le côté gauche, dos à Soixante. La brune ne bougea pas, le viseur pointé sur le loup au cas où il remue. Mais après quelques minutes de silence où rien ne se passa. Elle décida d'avancer toujours avec l'arme prête à tirer. Le lycan avait les yeux ouverts perdu dans le vague, sa langue baveuse sortait de sa bouche édentée, sa patte blessée, saignée mais peu. Une fois à sa hauteur, Soixante s'arrêta et regard de plus près le lycan, soudain son yeux droit la fixa et la bête se souleva dans un ultime effort. Trop rapide Soixante ne put rien faire, elle se retrouva plaquait au sol contre le dos par Ludmila qui … qui était redevenue humaine …

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-Шестьдесят, шестьдесят ! Elle serrai la brune dans ses bras, puis s'asseyant elle releva Soixante et dit: Вы настолько блестящие, когда вы с оружием, это великолепно ! Вы настолько тосковали без меня, если вы знали, как, что пропускает меня ! Все это … Pause Но я нашел вас ! И это - все, которое рассчитывает теперь мы собираемся быть способными возобновлять возвратите все !
Soixante, Soixante ! Tu es tellement génial quand tu es avec une arme, c'est magnifique ! Tu m'as tellement manqué, si tu savais comment ça me manque ! Tout ça … Mais je t'ai retrouvé ! Et c'est tout ce qui compte ... maintenant on va pouvoir tout reprendre !

Elle se fit alors arrêter par la brune qui avait l'air très sceptique. Un petit sourire gêné se dessina sur ses lèvres avant de disparaître définitivement en un coup de vent par un ton très sérieux. Son ami fronça les sourcils et lui expliqua alors, qu'elle voulait continuer seule, sans personne. Elle ne voulait plus être en équipe. Un sourire se dessina alors sur le visage déjà radieux de la jeune russe. Elle lui dit alors:

-Никакой что я не отказался брошенный от Окончательно ! Я говорил относительно оружейник военное предприятие, я передаю наем вас!
Non ça j'ai définitivement abandonné ! Je parlais de l'armurerie, je t'engage !

Soixante en resta sans voix, elle ne pouvait plus parler. Ludmila en fut amusé, elle se releva laissant son ami assise toute seule au sol et rejoignit ces vêtements en lambeaux. Ils étaient tous foutus, elle passa derrière une autre porte et récupéra un grand t-shirt noir et un jean, pas très glamour comme vêtement mais ça ferais l'affaire pour l'instant. La russe regarda son poignet droit. La balle avait presque traversé tout le poignée. Ludmila reconnaissait bien là, la puissance de tir des armes de Soixante. Elle plongea alors ses doigts dans la plaie pour récupérer la balle. Du sang gicla, Ludmila fit la grimace mais la balle sortit. Elle l'examina, une 9mn Parabellum. Soixante n'avait pas changé. Ludmila chercha alors une bande et se recouvrir le poignet avec. La plaie allait surement bientôt se refermait, le pouvoir de guérison des loup-garou était quand même pas mal. Avant ce soir Ludmila n'aurait plus rien.
Elle revint alors dans la boutique où les client ont accès. La brune était toujours assis par terre, entendant Ludmila revenir elle se retourna. Son visage avait encore les traces de la surprise dessinait dessus. Ludmila sourit et lui dit:

- Я беру вас как мастер архитектор в пожароруке и engraver ! Soixante se releva alors sans rien dire, toujours trop choqué pour parler. Ludmila lui tendit un papier qu'elle prit aussitôt Это - наш участок. Поездка избирательный бюллетень для большинства деталей собирается делать для этого ! Puis elle poussa Soixante dehors, avant d'ajouter: В понедельник утром ! Soixante montra alors du doigt la boutique dévasté puis son sac restait encore dans la boutique. Ludmila lui ramena et lui dit: Привязь я собираюсь заботиться об этом, воспользуется преимуществом хорошо многие вашего дня в уличных торговцах! Sur ce, elle ferma la porte et laissa Soixante toute seule dans la rue.
Je te prend comme artisan en arme à feu et graveur ! C'est notre site. Va y faire un tour pour plus de détails ! A lundi matin ! Laisse je vais m'en occuper, profite bien de ta journée dans les rue marchandes !