Siffle au vent de la douce nuit, nul n'entendra tes cris étouffer, cours tant que tu le pourras, l'ombre de la nuit se vengera. Le sang que tu as fais couler, cette peau qui a été transpercer, et nul pardon ne t'a été attribuer. Victime de la justice, tu a tanguer entre le délire et la folie, oh doux mélancolique du triste temps qui passe ne faisans aucun survivant, pas même les innocents.
De douce et torturante parole qui raisonnait dans ses oreilles, défilaient devant ses yeux, alors que dans ses mains se tenait un papier, il avait encore du boulot, sans arrêt. Quand aura t il enfin un peu de reconnaissance ? Il ne se rappelait même pas d'un merci, d'un sourire... Rien, juste des pleurs, des cris, des douleurs. Temps bien pou lui, temps bien pour eux...
Lui même victime de ses propres crimes, il jeta ses dossiers dans cette appartement. Se leva, et comme un roi tenu droit, changea de visage, empoignant le tissue de son manteau et descendit les marches.
Les ruelles étaient vide, ou les gens invisible, peut être les deux, il ne le savait pas trop. Perdu entre le sentiment de solitude et de remords. Déchirer entre un semblant de sincérité et de gentillesse, et un soupçon de mensonge et de méchanceté. La haine l'avait presque l'apidé jusqu'à ce qu'il se plie...
Amertume finit par entre des bruits, lourd mais étrangement apaisant. Il s'arrêta devant les musiciens, aussi perdu que lui, a la recherche d'un foyer... Le meurtrier ayant trop a faire, trop a donner a ce niveau donna plusieurs billets dans leurs boite en fer débrailler, espérant que sa pourrait les aider. Il se redressa, alla prêt de ce fameux épicier ouvert nuit et jour, sans relâche, lui acheta un pâque de bierre. Comme un clochard il s'assit sur un banc en pleine nuit profitant simplement de ce qu'il s'offrait a lui, ferma les yeux, et dans les tapotement infinie, but avec tranquillité...